Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Le titre est un refrain retenu de travers. Jamais le Chant des canons de L'Opéra de quat'sous n'a conduit les troupiers «du Gange à Zanzibar», mais «du Cap à Couch Behar». Cette erreur d'aiguillage ne relève pas pourtant du seul hasard : le premier repère est familier à l'auteur, le second apparaît fréquemment dans les lettres de Rimbaud comme autre dénomination de l'ailleurs. Du Gange à Zanzibar est le poème de la présence au monde et aux êtres, poème du mouvement et des migrations sans fin, avec jubilations et déchirements, visions, éclats de rire, commotions, lumière. Il est escorte de ce qui vit, viatique de ce qui passe.
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