Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
On se persuadera à la lecture des textes jubilatoires de Stevenson, Une apologie des oisifs, où défile une galerie d'excentriques Anglais de la plus belle eau, que la paresse et la conversation - au même titre que l'assassinat - méritent de figurer parmi les beaux-arts. Dénonçant un illusoire droit au travail qui n'est pour lui que droit à la misère, Lafargue soutient quant à lui, dans Le Droit à la paresse, qu'une activité proprement humaine ne peut avoir lieu que dans l'état de paresse, hors du circuit infernal de la production et de la consommation, réalisant ainsi le projet de l'homme intégral de Marx. La machine, pour lui, doit servir à la libération de l'homme et non à son asservissement. Un texte fondamental qui a marqué son époque et marque encore la nôtre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !