Au début du XXe siècle, de nombreuses campagnes d'exploration furent lancées à la conquête de l'Arctique, objet de fascination pour les hommes, aventuriers ou pionniers. Certaines d'entre elles revinrent auréolées de gloire, d'autres disparurent corps et biens, englouties par les glaces et la nuit. L'expédition Ellesmere fut de celles-ci. Yann Fourny, captivé par la magie de ce territoire, a trouvé le journal de bord d'un cartographe anglais nommé Erwin Inglefield, membre de cette mission scientifique évanouie sans laisser de traces en 1908. Le texte en est ici restitué.
À éviter, à tout prix.
Après une interminable préface, avant-propos, mise en place, description des personnages et des lieux, Yann Fourny aborde enfin le récit de voyage fictif d'un explorateur polaire. Par-delà les descriptions lyriques, c'est d'une linéarité, d'une prévisibilité mortels.
Comble de malheur, l'auteur ajoute ensuite une fausse recherche visant à déterminer si le récit de voyage est réel ou non. Et de s'emmêler les pinceaux dans la controverse (absolument obsolète) de savoir qui de Cook ou de Peary est le premier à avoir atteint le pôle Nord.
Tout cela est d'un machisme suintant la testostérone.
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