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Les juridictions africaines ont, pour l'essentiel, subi le positivisme juridique présent dans la plupart des Etats européens. Ce positivisme a restreint les sources du droit à l'unique loi positive. Cette sélection a eu pour conséquence d'enlever à certains peuples toute capacité à produire du droit. Le nouveau credo devient : " en l'absence d'Etat, point de droit ". C'est ce que certains ont appelé l'européocentrisme. Et pourtant, reconnaître plusieurs sources du droit permet de s'ouvrir à toutes les sociétés, qu'elle soient étatiques ou non. Et les présenter d'une certaine manière peut faire en sorte que ces sources puissent valoir, dans le temps et dans l'espace, pour toutes les sociétés, y compris certaines sociétés africaines dites non étatiques. La définition que chacun donne du droit n'est-elle pas à l'origine de tous les extrémismes individuels ? N'y a-t-il de société politique qu'étatique, pour faire dépendre exclusivement le droit de l'Etat ? La loi naturelle africaine, au sens cosmique, peut-elle encore être utile au droit tel que nous le connaissons aujourd'hui ? Si oui, comment ? C'est à ces interrogations que tente de répondre cet essai. Il est une modeste contribution à la philosophie du droit africain.
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