Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
La traduction élaborée par G. Rodier se propose de rendre plus aisée, à ceux que pourraient rebuter les nombreuses difficultés du texte, la lecture du De anima. Sans prétendre supplanter les éditions classiques ni résoudre les divergences d'interprétation, G. Rodier s'efforce de faire connaître le De anima dans sa vérité historique. Cet essai de traduction n'a en effet d'autre souci que de serrer d'aussi près que possible le texte et la pensée d'Aristote. S'il prend en compte les lumières nouvelles apportées par les travaux de Bonitz, de Zeller, de Brentano, de Kampe, etc., Rodier ne cherche pourtant pas à aplanir les incohérences de la doctrine psychologique d'Aristote. Les éléments d'explication avancés par le traducteur ont été fournis, en premier lieu, par Aristote lui-même. Bien souvent, en effet, c'est dans la Métaphysique, le De caelo ou le De sensu qu'il faut chercher les éclaircissements nécessaires à l'intelligence des passages difficiles. Lorsque cette source a fait défaut, Georges Rodier s'est adressé aux commentateurs : Alexandre, Themistius, Simplicius, Sophonias, Théophraste. Répondant à un souci philologique et historique, cette traduction justifiée du Traité de l'âme propose ainsi une lecture épurée, mais d'autant plus féconde, de l'oeuvre d'Aristote.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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