Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Maggy De Coster est avant tout poète, et a le don de l'image tendre et juste, telle cette « nuit qui abaisse les paupières du jour » ou l'herbe « qui soupire après le soleil ». Déjà, le titre, Comme une aubade, indique la direction. Une journée qu'on poursuit à l'aube, riche de sentiments, et de sentiments forts. C'est comme si la page sombre des doutes et d'une nuit inquiète qui s'achève se tournait pour s'ouvrir sur les encourageantes lueurs d'un soleil promis. Très vite on aborde la souffrance, ou du moins son souvenir, les expériences amères avec leur « cargaison de plaintes », les remontées des « épaves de haine », les douleurs du « venin de l'aspic », mais transcendées par « les accords inattendus » et les « trésors d'humanité ». Toutefois l'art de Maggy De Coster échappe à la mondanité comme à la superficialité. D'une part, les recherches de l'écriture sont exigeantes, en particulier dans l'art âprement difficile du poème en prose. D'autre part, on sent affleurer à la surface des mots une immense souffrance.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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