Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
" Tout ce qui ne chante pas, pour moi, c'est de la merde. Qui ne danse pas fait l'aveu tout bas de quelque disgrâce ". L'auteur de Voyage au bout de la nuit, publié en 1932 et vainqueur du Prix Renaudot, a exposé l'absurdité du monde et sa folie dans cet ouvrage, et prôné l'unique mode de résistance envisageable selon lui : la lâcheté.
Dans un avant-propos inédit, Sollers se situe par rapport à Céline. Son premier article paru dans L'Herne, date de 1963. Depuis, son admiration pour Louis-Ferdinand Céline n'a pas varié ; une telle constance est rare dans les milieux littéraires Tel Quel et L'Infini.
Dans ces articles, critiques, préfaces, Sollers souligne l'aspect comique des romans de Louis-Ferdinand Céline et adopte une position originale : pour Sollers, le meilleur Céline est celui de la trilogie allemande, c'est-à-dire la part la moins lue de son oeuvre.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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