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Le jour de ses quinze ans, Artemis Fowl réunit les représentants du Peuple des Fées au pied d'un glacier en Islande. Il a un plan pour sauver la planète du réchauffement climatique. Un plan pour lequel il est prêt à investir sa fortune. Trop beau pour être vrai, se disent ses amis. Artemis les inquiète. Serait-il atteint du complexe d'Atlantis, qui provoque des troubles de la personnalité ? Rythme haletant, humour décapant et répliques qui font mouche pour un septième volume des plus imprévisibles.
Et si le génie criminel n'était pas celui que vous croyiez !
Artemis Fowl est de retour dans une nouvelle aventure. Cette fois-ci, il fait appelle au peuple des fées parce qu'il a entreprit une mission importante : Sauver la planète du réchauffement climatique. Pour ce faire, il est prêt à y mettre la totalité de son argent.
Le problème, c'est qu'au moment de la réunion, les choses ne se passent pas comme prévu et pour lui sauver la vie, Holly est obligée d'électrocuté Artemis.
Soulagée à l'idée qu'il soit toujours vivant, Holly se rend à ses côtés mais est surprise de découvrir que bien qu'il s'agit toujours d'Artemis, c'est sa double personnalité qui a fait surface : Orion.
Holly et Foaly comprennent alors qu'Artemis a le complexe d'Atlantis et qu'il est déjà au deuxième symptôme de la maladie. Le premier étant une paranoïa excessive qui le pousse à croire que ses amis veulent le piéger et le second symptôme étant le dédoublement de la personnalité.
Malheureusement pour Holly et Foaly, Artemis n'est pas le seul problème auquel ils doivent faire face. En effet, quelqu'un a entreprit une mission pour le moins dangereux et cette personne est prête à tout pour arriver à ses fins même si elle doit laisser des morts sur son passage.
Certainement le tome d'Artemis Fowl le moins intéressant de la série. Artemis s'efface pour laisser la place à Orion et s'il y a bien une chose à dire, c'est qu'il tape sur le système. À la différence d'Artemis qui ne parvient pas à dévoiler ses sentiments, Orion en abuse et met à plusieurs reprises Holly mal à l'aise. Son dédoublement de la personnalité n'est pas spécialement intéressant et casse le charme du personnage d'Artemis Fowl.
Bien que l'action soit présente dans cet ouvrage, elle se trouve au-dessous des autres péripéties auxquelles Artemis Fowl et Holly Short ont pu faire face.
Bien entendu, tout n'est pas à jeter dans ce tome. Par exemple, Le complexe d'Atlantis a le mérite d'utiliser à de nombreuses reprises le sens de l'humour ce qui donne envie aux lecteurs de s'accrocher un peu plus au tome.
Autre chose intéressant, c'est le fait qu'on retrouve le personne de Juliet qui manquait lors des autres opus. Le lecteur découvre ce qu'elle est venue et ne pourra que l'apprécier dans son rôle de catcheuse professionnelle !
La plus grande crainte qu'il reste une fois l'ouvrage terminé, c'est le fait que le huitième et dernier opus de la série ne parvienne pas à remonter le niveau.
Il ne reste plus aux lecteurs qu'à croiser les doigts pour que les aventures d'Artemis Fowl ne s'achèvent pas sur une défaite !
Assez sobre et plutôt plat. Beaucoup moins de rebondissements que dans les précédent, je l'ai même trouvé un peu ennuyant...
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