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j’ai passé un excellent moment de lecture avec ce thriller qui porte bien son nom. Ragnar Jónasson nous offre une plongée vertigineuse dans les ténèbres de l’âme humaine, mais ne sont pas méchants toujours ceux qui paraissent… C’est une lecture parfaite pour tous les fans de polar nordique !
Un bon polar avec une fin qui tient la route. Ce n est pas mon préféré de cet auteur mais il est quand même agréable à lire.
Quand Tómas, son ami et supérieur, est allé voir si l’herbe est plus verte du côté de Reykjavik, Ari Thór avait espéré le remplacer en tant qu’inspecteur. Mais c’est Herjólfur qui a obtenu le poste. Vexé, Ari Thór n’a jamais cherché à mieux connaître ce collègue dont il ne sait rien. Aussi est-il fort surpris quand sa femme l’appelle au petit matin, inquiète de ne pas avoir vu son mari revenir du travail.
Siglufjördur n’étant pas très étendue, le policier le retrouve très vite, presque mort, abattu d’un coup de fusil, devant une maison abandonnée à la sortie du village. Un vrai choc pour toute la communauté qui n’a pas souvent affaire à une telle violence, surtout envers un membre des forces de l’ordre.
Qui s’en est pris à Herjólfur ? A-t-il vu quelque chose de compromettant ? Ou alors est-ce dans sa vie privée qu’il faut chercher une raison à cette agression ?
Ari Thór va mener l’enquête, aidé par Tómas, revenu de la capitale pour résoudre cette affaire sensible.
Ambiance glaciale et nocturne pour ce cinquième tome des enquêtes d’Ari Thór à Siglufjördur, localité à l’extrême nord de l’Islande.
L’hiver s’installe et, avec lui, le froid, la neige, la nuit. Et la grippe ! Le jeune policier, affaibli par la maladie, fatigué par sa nouvelle paternité, déstabilisé par sa compagne, froide et fuyante, fait face aussi au souvenir du jour lointain où des policiers, comme lui, étaient venus lui annoncer la mort de son père. Mais l’enquête doit suivre son cours. Et elle piétine. Cette maison a déjà connu un drame, est-ce dans le passé qu’il faut chercher un coupable ? Ou alors est-ce Herjólfur qui avait des choses à cacher ? Sa famille parfaite cache-t-elle de sombres secrets ? Mais peut-être est-ce du côté de la mairie que l’on a des choses à se reprocher ? Le maire et son bras droit, Elin, ne semblent pas vouloir répondre à toutes les questions. A cela s’ajoutent les pensées d’un patient psychiatrique, minutieusement transcrites dans un carnet. Mais seul le lecteur y a accès.
Avec en toile de fond les violences conjugales, l’enquête part un peu dans tous les sens avec des pistes suivies qui ne sont pas forcément pertinentes. Ari Thór manque un peu de charisme et n’est pas forcément sympathique. Entre ses problèmes de couple et ses ambitions contrariées, il apparaît comme égoïste et peu empathique. Son atout est peut-être de ne pas être originaire de Siglufjördur. Au contraire de Tómas, il n’a pas de liens amicaux ou familiaux avec les villageois, ce qui le rend plus impartial.
Un tome en demi-teinte mais qui bénéficie tout de même de l’atmosphère islandaise, sombre à souhait en ces jours où le soleil ne fait que de brèves apparitions. Sympathique sans sortir du lot.
1956. Une jeune fille de quinze ans disparaît sur l'île de Videy au large de Reykjavik.
Trente ans plus tard, à l'occasion de l'anniversaire de la disparition de Lara, un jeune journaliste ambitieux, Valur Robertsson, publie une série d'articles sur ce cold case qui hante la société islandaise. Il espère touver un nouvel élément qui lui permette d'élucider l'affaire... jusqu'à ce qu'il reçoive le coup de fil d'une certaine Juliá...
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Reykjavik n'est pas un polar noir venu du froid mais un "whodunit" écrit pour moitié par Ragnar Jónasson, fan et traducteur d'Agatha Christie.
La majeure partie de l'"enquête" se déroule en 1986, une année riche en événements pour Reykjavik qui fête son bicentenaire, voit de nouveaux quartiers sortir de terre. Et surtout c'est dans la capitale la plus septentrionale d'Europe que se déroule la rencontre historique entre Gorbatchev et Reagan au mois d'octobre. (Il s'agissait de leur deuxième rencontre à vrai dire.) Au niveau national c'est la fin du monopole de l'État sur la radio et la télévision, une femme dirige le pays depuis 1980. Vigdís Finnbogadótir, la première femme présidente élue au suffrage universel dans le monde! Il faut ici souligner que l'autre co-auteur du livre est Katrín Jakobsdóttir, ancienne Première Ministre islandaise de 2017 à 2024. (Elle était en poste à l'époque des "faits", l'écriture du livre s'entend).
Le résumé du livre, un cold case non résolu a piqué ma curiosité. Au final, ce n'est pas tant le manque d'action, mais une psychologie un peu "attendue" des personnages qui ne m'a pas convaincue. Par exemple, l'actrice vieillissante et le promoteur immobilier sont à la limite de la caricature.
Par contre il faut saluer les changements de narrrateur qui bousculent les habitudes du lecteur. Le lecteur qui se verra frustré de n'avoir jamais eu le moindre véritable indice et donc pas la moindre chance de démasquer le coupable tandis que l'identité de Juliá était trop évidente!
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