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Oliver Martin

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Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « On a mangé la mer » de Oliver Martin et Maxime De Lisle aux éditions Futuropolis

    bulle.noire sur On a mangé la mer de Oliver Martin - Maxime De Lisle

    La surpêche épuise nos océans. La catastrophe semble inexorable. A certains endroits, comme dans le Golfe de Gascogne, la mer est devenue un labyrinthe de filets. Symboles de la folie des hommes, les bateaux sont de plus en plus gros et pêchent de plus en plus de poissons, un modèle industriel...
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    La surpêche épuise nos océans. La catastrophe semble inexorable. A certains endroits, comme dans le Golfe de Gascogne, la mer est devenue un labyrinthe de filets. Symboles de la folie des hommes, les bateaux sont de plus en plus gros et pêchent de plus en plus de poissons, un modèle industriel destructeur qu'il semble difficile d'inverser. C'est David contre Goliath pour la pêche artisanale mais aussi pour les associations qui luttent pour la préservation des océans.

    Après Pillages (Delcourt, 2024), Maxime de Lisle, auteur et militant, revient sur le sujet qui le préoccupe: la protection des océans. Dans "On a mangé la mer", il dresse un diagnostic glaçant et appelle à une réforme de tout un système. Il s'appuie sur quelques spécialistes, chercheurs, donnant la parole à des gens de tous bords dans des passages parfois très didactiques pour faire l'inventaire des menaces qui pèsent sur la mer.

    Il montre aussi les quelques actions collectives qui donnent un peu d'espoir. Et les pinceaux d'Olivier Thomas apportent alors davantage de lumière dans un album évidemment très bleu. La légèreté de l'aquarelle laisse la place au propos comme il convient dans ce type d'albums. Certaines pages parviennent à illustrer avec pédagogie des mécanismes parfois complexes...

    Cette enquête de trois ans se termine en interpellant le consommateur et le citoyen que nous sommes tous. Notre responsabilité tient en un mot, un engagement: réduire.

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