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J'ai découvert Marie-José avec son troisième roman Travail travail quand tu nous tues que j'avais adoré et je suis ravie de retrouver la plume de l'autrice.
Garance vient de perdre son époux dans un terrible accident et se retrouve seule à élever ses trois enfants. Les jumelles, Erin et Clara ainsi que Malone le petit dernier de cinq ans.
Garance tient une agence de voyage avec son associée et amie Emma et doit faire face à ce nouveau rythme de vie.
Suite à ce décès brutal, Malone développe une dermatose invalidante, des plaques qui se propagent sur tout le corps. Cette maladie complique la vie et malheureusement la médecine traditionnelle ne parvient pas à guérir Malone.
Aleksander pratique des soins thérapeutiques, un mélange transgénérationnel et de soins énergétiques. Désespérée, Garance accepte la thérapie et elle est loin d'imaginer les surprises que lui réserve celle-ci.
C'est d'ailleurs grâce à ce guérisseur et à son amie Emma que Garance part en Irlande sur les traces de son passé et pour le bien-être de son petit garçon.
La mécanique du passé est une quête initiatique et emplie de suspense. D'une main de maître, Marie-José Aubourg-Iberti nous propose une intrigue originale, audacieuse et captivante. Une histoire bien construite, des chapitres qui s'enchaînent et de nombreux rebondissements. Les thématiques sont fortes et intéressantes. Marie-José nous offre un panel de protagonistes bienveillants et authentiques. Les descriptions sont bien détaillées et la psychologie des personnages est bien maîtrisée. Quant à la plume, elle est soignée, fine, et d'une telle fluidité que vous ne décrocherez pas.
L'autrice excelle et nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.
Ce roman est plein d'espoir, de résilience et il fait du bien. Sachez que si vous aimez voyager cette histoire est faite pour vous, préparez vos bagages et partez en Irlande avec ce joli trio.
Je vous invite à glisser ce joli bijou entre vos mains.
Après avoir lu en avril dernier, “Travail, travail quand tu nous tues”, de Marie-José Aubourg-Iberti, qui m'avait beaucoup plus, je ne me doutais pas que j'allais recevoir son nouveau roman aussi vite.
Quelle belle surprise !
Le sujet de la psychogénéalogie, m'intéresse énormément depuis que je suis papa. Je connaissais mes racines proches, mais pas au-delà de mes arrières grands-parents, et c'est quelque chose qui me manquait. Je voulais en savoir plus… L'auteure m'a définitivement ouvert les yeux sur certaines évidences.
Le récit de Marie-José est parfaitement structuré, avec une intrigue originale qui m'a emporté jusqu'à la fin du récit, avec un final au dénouement que je n'ai pas vu venir. C'est grâce à ce mystérieux Aleksander Lariokoff et à son amie et associée Emma que Garance part en Irlande pour le bien-être de son fils qui souffre physiquement depuis le décès de son père.
Il y a de la “magie”, de la philosophie et beaucoup de poésie dans cette histoire. J'ai eu l'impression par moment d'être en Irlande respirant l'air des Landes sous un ciel bas et sombre, où la pluie s'invite régulièrement sur les plaines infinies. C'est simple, j'ai lu le livre d'un seul tenant ayant peur de perdre la magie si je devais reprendre ma lecture plus tard…
Bravo Marie-José, et merci à toi d'avoir partagé toutes ces émotions avec tes lecteurs !
Un très beau roman, qui pourrait vous emmener loin…
Décidément, que de belles surprise chez “Nombre 7” !
Hector Juillet, cinquante-ans, marié à Sophie depuis des années.
Entièrement dévoué à son travail, il ne compte pas ses heures au point d'amener du travail chez lui néanmoins, il est épuisé de maintenir son service d’autant plus que la charge est devenue intenable.
Jusqu’au jour où tout bascule, il reçoit une convocation et le verdict tombe.
Il est licencié et Hector est victime d’un burn-out, mais après tant d'années et d'investissement, comment se sortir de cette spirale infernale ?
Sa femme a décidé de ne pas en rester là.
Ce roman se lit d’une traite et nous narre la douloureuse réalité du monde du travail en explorant les domaines comme la compétition entre collègues, la rentabilité et comment pousser son salarié à l’épuisement professionnel. Marie-José Aubourg-Iberti nous met en avant les souffrances psychologiques d’Hector et la colère de Sylvie qui cherche désespérément à connaître la vérité afin de retrouver la sérénité de leur vie d’avant.
Travail, travail quand tu nous tues, est le reflet de notre société et ce roman est criant de vérité.
L’autrice nous offre un polar d’une saisissante intensité aux multiples rebondissements. Les chapitres s’enchaînent et cette lecture est considérablement addictive.
Marie-José maîtrise les petits détails à la perfection étant donné que les descriptions et la psychologie sont parfaitement bien travaillées. Le lecteur ressent les recherches et la qualité du travail de l’autrice, c’est minutieux !
Quant à la plume, elle est d’une telle finesse et d’une telle fluidité que le lecteur est pleinement immergé dans cette histoire et ne peut pas décrocher. Cette lecture nous mène à une réflexion pertinente et de manière intelligente. Je salue l'autrice pour ce beau travail.
C'est avec un immense plaisir que je vous invite à découvrir ce roman fort, intense et incroyablement saisissant.
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