Mac Goldrick May

Spitfire89 sur Promesse de rebecca (la) de Mac Goldrick May

L'homme gisait à terre, à moitié dévêtu.
De son crâne défoncé s'écoulait un flot de sang vermeil...
Elle l'avait tué ! Rebecca ne sut jamais comment elle était parvenue à sortir de la maison.
Lorsqu'elle reprit ses esprits, elle courait à perdre haleine dans la rue.
Derrière elle, un bruit...
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L'homme gisait à terre, à moitié dévêtu.
De son crâne défoncé s'écoulait un flot de sang vermeil...
Elle l'avait tué ! Rebecca ne sut jamais comment elle était parvenue à sortir de la maison.
Lorsqu'elle reprit ses esprits, elle courait à perdre haleine dans la rue.
Derrière elle, un bruit de galopade et des cris s'élevaient.
Le monde entier était à ses trousses !
Qui croirait qu'elle était en état de légitime défense lorsqu'elle avait assommé son employeur ?
Ce qui l'attendait, c'était la pendaison ou, au mieux, la déportation dans les colonies...
Soudain, une berline s'arrêta devant la fugitive.
- Montez ! lança une voix féminine, tandis que la portière s'ouvrait.
Après un instant d'hésitation, Rebecca s'engouffra dans la voiture.
Était-ce un miracle ou venait-elle de signer sa perte ?


Premier opus de la saga Samuel et Nicholas, une romance historique agréable à lire, une intrigue qui aborde l'esclavage et la maltraitance l'attraction et le désir qui accompagne les personnages et l'héritage. Tous les personnages et les histoires sont très bien écrits. Une romance slow burn qui tient en haleine. Ce livre est addictif.

"Un autre sourire narquois apparut sur les lèvres de baronnet. A bien y réfléchir, Samuel avait beau être d'une humeur de chien, il y avait bien longtemps qu'il ne s'était pas amusé autant en sa compagnie.
- A présent que tu m'en parles, plaisanta-t-il, je crois en effectivement m'en rappeler. Mais en tant que ton fidèle ami, il est de mon devoir d'ignorer jusqu'à tes menaces, et tu n'as pas manqué d'en proférer quelques-unes contre moi.Quoi qu'il en soit, j'estime nécessaire de ne plus te quitter d'un pas tant que ton humeur noire ne t'aura pas quitter.
- Pitié ! marmonna Stanmore. Impose-toi si tu veux, mais épargne-moi tes boniments."