Sweet d'Emmy Laybourne se présentait comme une lecture ravissante ! Ce qu'elle a été en tout point : des personnages intéressants, une intrigue riche en promesses, des surprises à venir. Mais le souffler est retombé pour moi au démarrage de l'action... Entre le style qui ne m'a plus semblé insuffler le bon rythme à l'action et les choix parfois contradictoires de Lauren, j'ai peiné sur les dernières pages du roman. Ce qui n'a pas empêché l'intrigue de m'être tout à fait captivante et réaliste. La dose de réflexion ajoutée avec justesse, Emmy Laybourne donne ici à ses lecteurs un roman intrigant, différent et original sur l'acception de soi et de son apparence, de son corps et de son image.
Mon avis : https://liredelivres.blogspot.fr/2017/01/sweet-emmy-laybourne.html
https://bookouioui.wordpress.com/2016/10/08/sweet-demmy-laybourne/
Je tiens tout d’abord à remercier Hachette Romans et NetGalley pour m’avoir permis de découvrir ce roman. Quand mon regard est tombé sur « Sweet » d’Emmy Laybourne j’ai eu un coup de coeur immédiat pour cette couverture tout simplement éblouissante !
Dans ce roman il est question d’une virée en croisière mais attention celle-là est unique en son genre. Elle promet à sa clientèle de les faire maigrir autant qu’ils le souhaitent dans un délai d’une semaine grâce à un remède miraculeux nommé « Solu ». Néanmoins la couverture et sa quatrième laissent à prétendre que cette croisière de rêve ne se passera pas tout à fait comme prévu.
L’auteure nous propose une narration alternative entre nos deux protagonistes Lauren et Tom. Ce sont des personnages que j’ai appréciés et qui m’ont fait passé un agréable moment de lecture.
« Sweet » est un young adult aventure qu’on peut imaginer prévisible en surface mais qui saura étonner les lecteurs. Je pensais savoir où je mettais les pieds et pourtant j’ai été surprise et je me questionnais sur les limites de l’auteure et jusqu’à où elle était prête à brusquer ses personnages.
Il y a des romans que j’imagine bien au cinéma et « Sweet » en fait parti. Si vous souhaitez suivre les aventures uniques de deux héros sympathiques avec un fond de romance « Sweet » est fait pour vous.
Seuls au monde tome 2 c'est toujours des enfants et des adolescents qui essaient de survivre alors que dehors c'est la fin du monde. L'air est devenu nocif et affecte chaque personne selon son groupe sanguin. Plus ou moins méchamment.
En commençant le second tome j'étais assez mal à l'aise. Un des points négatifs du premier livre revenait : la qualité de la narration (langage de garçon au collège/lycée) me freinait un peu. Je me mordais les doigts en espérant que ça allait devenir accessoire au bout de plusieurs pages. Et au final, une fois la barre des 50 pages passées ça allait mieux.
C'est devenu super fluide. Et ce tome était blindé en action et rebondissements. Beaucoup plus que le premier tome ! Et c'est ce qui m'a absolument plu. C'est notamment dû au fait qu'on ait deux points de vue qui s'alternent tout le long de l'histoire. Car le groupe a été divisé en deux et on suit leurs périples des deux côtés.
On a un groupe assez soudé qui se bat envers et contre tout pour survivre. C'est à la fois semblable et à la fois très différent du premier tome. Moi qui n'avais pas mis le tome un dans mes coups de cœurs, je pense en mettre un pour celui-ci.
Je vous recommande vivement cette trilogie si vous aimez les histoires de fin du monde, de survie, avec des enfants, et surtout si vous désirez une lecture facile pas prise de tête.
Seuls au monde Tome 2
Sweet
Seuls au monde Tome 1
Expelled
Seuls au monde T.3
Seuls au monde ; l'intégrale
Monument 14: Savage Drift
Seuls au monde T.2
Jake Simonsen : Seul au monde - nouvelle inédite
Seuls au monde T.1
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
