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une série d'illustrations sans écriture, sans légende, on s'y laisse porter, on pose son regard comme dans une exposition, on revient sur certaines pages au hasard de découverte de compagnons de route.
Un beau moment suspendu, de belles images qui interpellent tout en douceur.
J'ai passé un agréable moment, et je re-feuillette le livre de temps à autres.
Catherine Meurisse illustre ici un texte d'Alexandre Dumas. Celui-ci nous conte l'histoire de son ami Eugène Delacroix un an après sa mort, et comment leurs destins ont pu se croiser. Le texte est brillamment mis en scène par de nombreuses illustrations venues rythmer l'histoire nous étant racontée.
Ainsi, les anecdotes sont régulièrement accompagnées de petites scènes en noires et blanc, soulignées par quelques touches de couleur, juste ce qu'il faut. Le ton tend souvent vers humoristique et le ludique. Puis quand sont abordées les œuvres majeures de Delacroix et leur histoire, Catherine Meurisse nous plonge dans des réinterprétations pleine page de ces chefs d'œuvre. Le seul bémol pourrait être qu'une familiarité avec les œuvres en question avant d'aborder le livre contribuera à n'apprécier qie mieux le travail de Catherine Meurisse. Difficile, pour moi en tout cas, de rester de marbre face à la profondeur et la richesse chromatique de certaines aquarelles de l'ouvrage.
Le papier est épais et texturé, la couverture est rigide et matte. En d'autres termes, le contenant accompagne bien le contenu.
« Ami sauvage où te caches-tu ? » s’écrie la jeune dessinatrice (Catherine Meurisse herself !) venue au Japon pour peindre la nature. Mais le barrage de la langue et la méconnaissance du pays ne facilitent pas les choses. Sa rencontre avec un tanuki, sorte de raton laveur et animal emblématique du Japon, va lui sauver la mise. Il va lui prodiguer des conseils car peindre la nature n’est pas chose aisée.
On découvre l’art de peindre avec un pinceau et une pierre à encre, et la recherche d’inspiration devient un prétexte pour découvrir la culture nippone.
Réel et fantastique se mêlent harmonieusement.
La poésie est présente à chaque page avec l’évocation des paysages inspirants et le personnage énigmatique de la demoiselle Nami, proche de la nature et qui possède des dons de divination.
La narratrice devra laisser ses réflexes d’occidentale pour se fondre dans cette nature généreuse et puissante et accueillir ses mystères.
L’humour n’est pas absent avec le personnage du tanuki pou celui du peintre amateur de haïkus.
Mais ce que j’ai le plus apprécié dans ce roman graphique, ce sont les dessins pleine page de paysages époustouflants.
Une belle lecture
Oula, compliqué de parler de cela.
Faut-il vraiment que je m'y attelle ? Eh oui … mon crédo est de parler de toute BD, que j'apprécie ou non. Le but est d'échanger, donner son éventuel point de vue qui n'engage que l'auteur de ces mots.
Force est de constater que je me suis ennuyé comme rarement lors de la lecture de ces pages. Nombreuses ont été les fois où j'ai voulu reposer la BD, mais je me disais que j'allais bien y trouver une planche qui me plait dans le lot. Eh bien non.
Aucune planche n'a sauvé cette lecture que j'ai donc trouvé complètement inutile pour moi.
Je n'ai PAS DU TOUT accroché à cet humour. Et dire que cet autrice est de ma génération, j'ai encore du mal à y croire. Mal à croire également qu'il y a un public pour ça.
Il en faut pour tout le monde certes, et tant mieux. Juste que là, je ne comprends absolument pas.
Difficile de me souvenir d'où j'avais eu une recommandation pour cette BD. Mais je lui en veux !
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