Le 11 novembre 2016, la vie de Marin Sauvajon a basculé. Parce qu’il s’est interposé pour défendre un couple qui s’embrassait, Marin a passé quinze jours entre la vie et la mort après avoir été violemment agressé à coups de béquilles. Ce jour-là, il fête ses 20 ans et personne ne pourra lui dire que c’est le plus bel âge de la vie.
Ce 11 novembre, c’est toute une famille qui voit son histoire prendre un virage à 180 degrés. Un gamin de 20 ans, sa mère, son beau-père et ses deux sœurs voient leur vie transformée par le combat inouï qui ramènera Marin de l’antichambre de la mort à une vie plutôt normale.
Mais pour cela, il faudra relever ses manches. A la manœuvre, Audrey, la mère, qui publie ici le récit de l’aventure où il lui a fallu transformer une tragédie en vie, une douleur insondable en courage. De cela, il ne faut pas lui parler : le courage, pour elle, est une question qui ne se pose pas. « J’ai fait ce que j’avais à faire, c’est tout », répond-elle sobrement.
Dans La Tête haute (Flammarion), Audrey Sauvajon raconte les longs mois où un jeune homme mais aussi une famille apprennent à tenir tête à la fatalité, avec impertinence, humour et ténacité, et une bonne dose d’inventivité aussi. C’est bouleversant, mais aussi drôle, lumineux. Une sacrée leçon qui force le respect.
- Qu’est-ce que cela signifie, « se battre », quand on est l’entourage et non pas la victime clouée sur un lit d’hôpital ?
J’ai envie de dire que c’est terrible aussi d’être le parent d’une personne gravement malade, ou, dans le cas de Marin, d’un enfant entre la vie et la mort après une agression, parce qu’on a l’impression de n’avoir aucune prise sur ce qui arrive et d’être totalement impuissant. Se battre signifie alors trouver quelque chose à faire, ne pas accepter la fatalité, les pronostics pessimistes, sans pour autant se laisser dévorer par ce combat-là et tout en restant solide pour le reste de sa famille.
- Comment avez-vous mis en œuvre ces principes ?
En gardant la tête froide, et en ne prenant pas tout pour argent comptant. Plus concrètement, à chaque fois que les soignants, les médecins ont proposé une direction, un choix à faire dans la prise en charge de Marin, j’ai pris le temps de réfléchir en réservant mon accord. J’ai posé des questions aux médecins, j’essayais de mettre en perspective leurs propositions : pourquoi cette solution et pas une autre, comment procéder autrement, je leur demandais invariablement de m’expliquer. Ce n’est pas simple.
- Pourquoi ?
En période de choc post-traumatique, le choc étant de savoir que votre enfant vient d’être agressé, qu’il risque de mourir à tout moment au point qu’on vous demande de lui dire adieu, on ne raisonne plus de façon élaborée. On n’arrive pas à sortir le nez du guidon et faire le pas de côté nécessaire à toute prise de décision. Les choses vous foncent dessus brutalement, il faut les digérer coûte que coûte, on a dans la tête une foule de questions indistinctes qu’on n’arrive pas à formuler. Pendant toute la période où Marin a été hospitalisé, puis pendant sa rééducation, j’ai pris beaucoup de notes sur tout ce qu’on me disait. Et je n’ai pas hésité à solliciter le corps médical, au-delà de ce qu’on s’autorise habituellement à faire.
"Je n’ai plus peur de grand-chose désormais, à part pour mes enfants."
- Vous n’étiez pas impressionnée par les blouses blanches ?
Pas du tout. Sans doute parce que je me suis aperçu rapidement que les médecins n’étaient pas sûrs de tout : d’un médecin à l’autre, les préconisations variaient. Peut être que le fonctionnement d’un muscle, du cœur ou du foie est davantage connu, maîtrisé. Mais le fonctionnement du cerveau reste apparemment encore bien mystérieux. Disons qu’il y avait dans les diagnostics et les analyses médicales, ce petit rien de flottement qui me permettait d’espérer mieux. Je me suis engouffrée dans cette brèche-là.
- Quel a été l’impact de votre engagement sur votre vie familiale ?
Au début je n’ai pas réussi à tout tenir, à rester une maman, une épouse et une professionnelle. Seul Marin comptait, c’est lui qui avait le plus besoin de moi. Cela m’était difficile ne serait-ce que de parler ou de prendre dans les bras mes autres enfants. Je me disais qu’elles avaient un père qui pouvait suppléer. Je me trompais, bien sûr. Mais à l’époque j’avais déjà beaucoup de mal à supporter d’entendre des gens simplement discuter à côté de moi. Il a fallu que je prenne un peu de recul, de temps aussi, et que je fasse un effort sur moi-même. Mes enfants attendaient d’être rassurées et j’ai dû apprendre à redevenir rassurante pour elles.
- Comment en êtes-vous venue à créer une association pour Marin ?
Assez rapidement après l’agression, des gens ont proposé d’organiser des collectes sur la page Facebook de Marin. J’ai d’abord refusé, confiante dans le système de soins de mon pays. J’ai voulu croire que la prise en charge qu’on me proposait serait optimale. C’est au moment où Marin a été transféré dans un centre de rééducation que j’ai nommé Les Abeilles dans le livre, que j’ai remis en cause cette prise en charge et compris que tout ne serait pas mis en œuvre pour lui.
Un soutien de notre page Facebook nous a parlé du centre REHAB à Bâle qui semblait formidable et qui l’a été en effet. Mais pour pouvoir y faire entrer Marin, il fallait une somme conséquente que nous n’avions pas. Nous avons ainsi créé l’association « La tête haute je soutiens Marin » deux mois après l’agression, et avons pu réunir l’argent nécessaire à sa prise en charge en Suisse.
- Que devient l’association aujourd’hui ?
Elle continue car Marin a toujours besoin d’argent pour la prise en charge de son accueil de jour, des thérapies extérieures. L’association continue donc d’œuvrer pour Marin, mais pas seulement. Nous avons créé « le CAP La tête haute », un outil mis au point avec une neuroscientifique et destiné aux proches des cérébro-lésés pour les aider à communiquer avec les patients. Marin en a été le cobaye, avant que lui et moi ne prenions conscience que nous étions en train de tester une nouvelle façon de fonctionner qui pouvait s’adapter à bien d’autres cas. On parle souvent de l’évolution quasi-miraculeuse de Marin. Si le neurochirurgien qui l’a opéré ainsi que le REHAB y sont pour beaucoup, ce que l’on a mis en place, et que nous avons nommé le CAP, a aussi beaucoup contribué à la remise sur pied de Marin.
- Qu’est-ce que cette expérience a changé en vous ?
Tout : ma perception du monde extérieur, ma relation avec les autres. J’étais plutôt réservée, me posant mille questions et ne me sentant pas toujours à ma place. J’étais mon principal obstacle dans la vie ! Maintenant je ne me pose plus de question, je fonce et j’essaie. Je mets en œuvre et je vois ce que ça donne. En général ça me réussit plutôt bien. Je crois que je n’ai plus peur de grand-chose désormais, à part pour mes enfants.
- Quelles sont les forces dont vous disposez maintenant et dont vous n’aviez pas conscience ?
L’audace, une certaine envie de faire bouger les choses. J’ai envie que ce qui est arrivé à Marin puisse être utile à d’autres et transmettre ce que j’ai appris de cette expérience. J’ai plus que jamais envie de renverser la table.
- Comment vivez-vous la formidable notoriété de Marin ?
Elle me terrifiait au début. Quand on vit quelque chose d’aussi difficile et douloureux, on a envie de garder la souffrance pour soi et rester discret aux yeux du monde. Passé ce premier mouvement de méfiance, je me suis dit que c’était cette médiatisation qui avait permis à Marin d’être soigné à l’étranger. Cette solidarité qui s’est mise en place est prodigieuse. Tous ces gens que nous ne connaissions pas, qui se sont organisés pour mon fils, qui se sont impliqués, ce sont des tonnes d’amour que nous avons pris en pleine face. C’est bouleversant et ça fait un bien inouï. Cette fidélité-là perdure. Plus de 200 000 personnes suivent aujourd’hui Marin sur les réseaux sociaux. Je pensais que cela s’arrêterait, tout est si volatile aujourd’hui, et je me trompais. C’est fou que les gens se soient attachés à Marin à ce point-là, j’ai conscience qu’il s’agit-là d’un immense cadeau qui nous est offert.
Propos recueillis par Karine Papillaud
On aime, on vous fait gagner La Tête haute, d'Audrey Sauvajon
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ectenor ; christi45 ; Noraline M ; frconstant ; RD81
J'ai hâte d'en savoir plus sur cette terrible histoire et sur la force dont a fait et fait toujours preuve la maman de Marin.
Bonjour,
Ce livre, c'est le combat d'une mère et en tant que maman, forcément çà me parle.
Mais ce livre, c'est avant tout le combat de Marin.
J'ai appris à mes enfants à ne pas hésiter à intervenir s'ils sont témoins d'une injustice.
La phrase qui me marque le plus dans cette interview, c'est : C’est bouleversant, mais aussi drôle, lumineux. Une sacrée leçon qui force le respect.
J'adorerais le chroniquer !
Merci
Au-delà du drame et de la force courageuse de cette mère, ce livre me semble être un message et une leçon. Je suis touchée et intéressée par ce que l'auteur explique des changements que tout cela a engendré pour elle. Témoignage mais aussi réflexion sur ce qui nous fait tenir, avancer...
Le combat médical fait partie de mon quotidien. Alors partager l'expérience d'un(e) autre c'est quelque chose qui me parle. Il ne faut pas oublier que chacun de nous ne peut faire que ce qu'il peut faire, c'est la conviction qui ouvre les porte.
le courage de la maman mais surtout de Marin, il n'y a aucun mot pour decrire cetteexpérience, cette violence ne devrait pas exister, comment se reconstruire après tout cela c'est pour cette raison que de lire ce temoignage m'informeraet me donnera de la force pour ne pas me plaintre parfois pour des broutille, même si ce n'est pas ma nature
Bonjour.
"La Tête haute" est une de mes expressions louées dans la vie. Les Cowboys Fringants ont en fait une chanson magnifique, et cette histoire de Marin est typiquement ce genre d'histoires où le genre humain prend toute sa valeur " Courage et Amour ". Oui pour "La Tête Haute"
je participe car voilà une histoire qui force l'admiration ,la nature humaine est pleine de ressources devant l'adversité,une grande leçon de vie.Merci
Bonjour,
Je participe en tant que maman.
Je suis impressionnée par le courage de cette maman. Loin de s'apitoyer et par amour pour son fils Marin, Audrey Sauvajon nous offre là une belle leçon de courage. En serais-je capable moi ? Je ne sais pas. Son témoignage est important pour toutes les mères : être forte, se relever et se battre pour son enfant...
Touchée par Marin, j'aimerais lire le récit de sa maman.
Merci
Bonjour.Habitant Lyon j'ai été très marqué par cette histoire.Car ce qui lui est arrivé fait peur.Il a eu un très grand courage car déjà il a voulu défendre autrui et ensuite il s'est battu jour après jour pour se remettre sur pied.Sa famille a vécu et vit toujours des choses difficiles et je trouve très courageux que sa mère nous apporte ce témoignage.J'aimerais bien le découvrir.Merci.
Bonsoir , j'ai été bouleversée par l'histoire de Marin . J'ai appris à mes enfants à se porter au secours de ceux qui en avaient besoin et j'ai été submergée par la tristesse en lisant le discours de Audrey SAUVAJON . Maman pleine de courage qui a su transmettre sa force à son enfant , ce combat sans cesse mené , la foi en un avenir possible , meilleur . J'avoue que j'espère pouvoir découvrir ou Audrey et Marin ont trouvé cette envie de continuer , de tout tenter pour avoir une vie meilleure , que la souffrance disparaisse de leur vie.Et ce lien entre tous pour aider Marin et cette association créée nous pousse à croire en l'humanité . Merci de m'avoir lue . Belle soirée
Etant lyonnaise, j'ai beaucoup entendu parler de ce fait divers si terrible. Maman également, je serais ravie de lire ce témoignage d'une femme qui semble si forte... C'est vraiment un sujet prenant aux tripes!
Je ressens beaucoup de respect d'abord pour Marin Sauvajon qui a eu le courage d'intervenir pour défendre un couple à une époque où on détournerait plutôt le regard par lâcheté, pour éviter les ennuis et pour que la violence ne se retourne pas contre nous. Beaucoup de respect aussi pour sa mère, Audrey, dont l'obstination, le courage, l'amour pour son fils m'émeuvent profondément. Elle ne cache rien des difficultés, des doutes mais une force incroyable se dégage de son interview. J'aimerais prolonger ce moment d'émotion en lisant le livre que j'aimerais découvrir, un matin dans ma boîte aux lettres.
Je suis intéressée par la lecture de ce roman, car je suis toujours interpellée dans ma vie de femme et de mère, quand je vois des personnes qui arrivent à écrire sur les épreuves aussi douloureuses soient elles qu'elles traversent. Etant de nature plutôt taiseuse dans de tels moments, j'ai beaucoup de mal à m'identifier à elles, et pourtant certains combats m'ont fait entrevoir la vie différemment notamment avec le roman de Sophie Daull et bien d'autres. Alors entre l'injustice qui arrive à Marin et la douleur de sa mère, je suis fortement désireuse de lire son parcours.
Bonjour, à l'heure actuelle on parle beaucoup de l'euthanasie, de ce qui fait qu'une vie vaut ou ne vaut pas la peine d'être prolongée, de la qualité de vie des personnes ayant été cérébro-lésées. J'ai envie de connaitre le combat de la mère de Marin car ce livre peut redonner de l'espoir.
Comment ne pas se laisser abattre après une telle injustice ? J'aimerais lire les mots de cette mère courage et pouvoir m'inspirer de sa force au quotidien. Je suis admirative et aimerai lire ses écrits. Où en est Marin à l'heure actuelle ? A quel point ses efforts ont-ils payé ? Je tente donc ma chance.
Bonjour.
S'il vous plait, je souhaite participer.
Merci.
Le combat d'une mère, la ténacité de son entourage, des actes qui forcent à l'admiration et sont des exemples pour tout à chacun face à l'impensable qui peut surgir dans une vie !
Bonjour
Je tente ma chance parce que rien qu'à la lecture de l'interview ci dessous, l'émotion m'a assaillie. Lire pour moi c'est ça : entrer dans le monde de l'autre, sa perception des choses et ressentir ses souffrances et ses joies. Bref, partager la même émotion que les protagonistes de l'histoire au fil des pages . Merci pour ce concours
C 'est un livre qui redonne de l'espoir dans la vie par le courage de cette femme. La vie peut basculer en quelques instants, il faut lire absolument ces livres afin de dénoncer ce genre d'agression.
Le courage et la ténacité d'une mère et la lutte pour survivre La vie oublie souvent de vous épargner. Il faut lutter. Ce témoignage j'aimerais beaucoup le lire et y puiser de la force.
Merci de nous donner la chance de la gagner peut-être ...
Le courage de pouvoir en parler et la famille dur ,dur mais cela la peut être libérer un peu car c est duré a assumer cette violence vraiment à decouvrir l histoire
Comment exprimer par des mots l'émotion intense ressentie à la lecture de ce témoignage, surtout quand on est soi-même parent ? J'aimerai vraiment en savoir plus sur cette prise en charge. Merci.
Ce récit a l'air passionnant... je tente ma chance pour découvrir ce témoignage bouleversant.
Merci Lecteurs.com pour toutes ces belles découvertes!
Depuis plus de quarante ans, je vis avec une personne ayant subi, à répétition, des thromboses ayant laissé de lourdes traces. Sa vie de cérébrolésée a été et est toujours un combat quotidien! Alors, bien sûr, un récit qui ose bousculer l'ordre des choses dont certaines certitudes médicales qui ne sont que des croyances, cela me parle.J'ai envie de lire ce livre.
Bonjour, je participe avec plaisir !
J'ai entendu parler de ce qui est arrivé à Marin et je trouve ça terrible… Parce que finalement, Marin aurait pu être l'enfant de l'une d'entre nous ! En tant que Maman, ça me remue beaucoup… Quelle force, quel courage ! Autant du côté de Marin que de son entourage !
J'aimerai découvrir ce roman pour m'inspirer de la force de cette femme dans sa vie de tous les jours. J'ai eu un cancer lorsque j'avais 22 ans et j'ai le sentiment que ce n'était rien contrairement à ce que cette famille a traversé...
Son combat me touche... une collègue est actuellement confrontée à ce même problème
Parce qu'en tant que mère on donnerait tout pour ses enfants.
Dès le lendemain de l'agression de Marin, j'ai suivi et relayé cette terrible histoire car Marin était un élève brillant promu à une belle carrière que ma fille connaissait et dont la vie a basculé ce 11 novembre à Lyon. Audrey a pu s'appuyer sur ses sœurs "les tantines" pour nous permettre de suivre jour après jour la lutte de Marin entre la vie et la mort et je n'ai a jamais lu autant de messages d'amour sur des réseaux sociaux que sur leur page, avec un musicien jouant chaque jour un morceau de guitare spécialement pour Marin. Nous avons fait le siège de la Ville de Lyon pour qu'il obtienne la médaille du la Ville puis la légion d'honneur alors enfin c'est arrivé. J'ai envie de lire maintenant le témoignage d'Audrey car je ne sais pas comment j'aurais réagi si cela avait été ma fille.
Je tente ma chance pour lire ce combat de mère !
Parce que le combat de cette maman me parle , parce que ce livre est le livre de l'amour inconditionnel d'une mère, d'une famille, parce que ce livre est celui d'un combat mais surtout parce que c'est le livre d'une victoire ! Elle a peut-être "fait ce qu'elle avait à faire" mais ce n'est pas tout, elle l'a fait avec toute son âme et qu'elle le reconnaisse ou non moi je lui reconnais un grand courage à cette dame. Chapeau bas Madame !
Bonjour,
Nous avons tous des ressources insoupçonnées au fond de nous. Audrey Sauvajon a eu du courage, de la rage qu'elle a su transmettre à son fils. La maman et la famille de Marin se sont impliquées. De l'amour après le beau geste de Marin envers ce couple. Une superbe histoire.
Ce qui ,dans son interview, m' a donné envie de découvrir son livre, c'est cette force Voilà pourquoi je tente ma chance pour connaitre l'histoire de cette femme et de son fils
Quel courage évidemment ! Cette mère a connu l'une des épreuves les plus terribles pour un parent. Au-delà du drame qui touche Marin, on oublie parfois les autres membres de la famille, je pense notamment à ses sœurs qui ont perdu également peut être une partie de leur mère
Bonjour, ce combat d'une mère me plaît beaucoup. Son courage force l'admiration..
ce témoignage doit être porté à la connaissance de tous les lecteurs!
Parce que je me reconnais dans ce combat d'une mère impuissante face à la maladie (ou l'accident) de son enfant...
Bonjour,
Ce qui ,dans son interview, m' a donné envie de découvrir son livre, c'est cette force, cette prise de recul, sa position en tant que femme-mère-travailleuse ...Je tente donc ma chance également .
Bonjour, effectivement j'avais suivi cette histoire. Et j'avais été extrêmement touchée par ce qui s'était passé. Marin et pour moi un héros du quotidien. Sa maman est une personne engagée. Cette famille a souffert et souffre encore physiquement et psychologiquement. Ce livre est certainement bouleversant et fort. Un choc. Comme l'est cette histoire.
Mon Dieu ! Que de souffrance mais aussi que de courage et de tenacité pour cette mère et sa famille ! Que d'amour aussi ! Un livre que j'aimerais découvrir.
Le combat d'une mère, la ténacité de son entourage, des actes qui forcent à l'admiration et sont des exemples pour tout à chacun face à l'impensable qui peut surgir dans une vie ! Voilà pourquoi je tente ma chance pour connaitre l'histoire de cette femme et de son fils…
je n'ai qu'une chose à dire " le courage de la mère et de la famille entourant Marin "
Voilà pourquoi je tiens à lire ce livre " témoignage " sans oublier le courage de Marin car lui est le principal acteur ......