Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Viridités : hors de la positivité forcée, les chemins retrouvés de la vie intérieure

Couverture du livre « Viridités : hors de la positivité forcée, les chemins retrouvés de la vie intérieure » de Marie-France De Palacio aux éditions Entremises
  • Date de parution :
  • Editeur : Entremises
  • EAN : 9782382550908
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Viridités, d'un mot latin désignant ce qui verdoie, propose d'envisager la croissance de l'individu loin de certaines recettes faciles de la psychologie positive. En particulier, le développement personnel est au prix d'une « poussée » verticale, et non pas (seulement) d'une collaboration... Voir plus

Viridités, d'un mot latin désignant ce qui verdoie, propose d'envisager la croissance de l'individu loin de certaines recettes faciles de la psychologie positive. En particulier, le développement personnel est au prix d'une « poussée » verticale, et non pas (seulement) d'une collaboration horizontale avec la société qui l'environne.
Cet essai poursuit trois objectifs principaux : dénoncer le diktat de la pensée positive (en en retraçant aussi l'histoire), réhabiliter la solitude comme véritable moyen de fécond retour à soi, et proposer un modèle de bonheur moins centré sur l'ego et plus ouvert à la puissance de l'esprit qui traverse la nature. La démonstration s'attache à prouver que la positivité n'est pas le bonheur et que la joie durable emprunte des voies invisibles, silencieuses, discrètes...
L'ouvrage part du constat de souffrance née de l'obligation de sociabilité. Cette mise au ban de l'individu qui ose se singulariser se double d'une obligation de « positivité », attitude autoritaire et prétendument protectrice dont les intentions sont souvent moins bienveillantes qu'il n'y paraît. Le réenchantement du monde, à la clef de ce changement de perspective, n'a pas l'ambition d'un bouleversement cosmologique mais plus humblement d'une redistribution de l'agencement du monde intérieur. C'est par l'acceptation du négatif, par la redéfinition d'une solitude choisie, et par le sentiment de communion au sein de la nature que nous pourrons nous émerveiller de nouveau d'être au monde.

Donner votre avis