Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Depuis qu'elles sont disponibles «à la demande», sur tous les écrans, les séries ont colonisé nos vies. Accessibles tout le temps et partout, elles remplissent les moindres temps morts et nous permettent de «déconnecter» après une journée de travail, tout en s'invitant dans nos conversations et en construisant nos imaginaires.
Ce phénomène, qui touche toutes les classes sociales, tous les âges, tous les niveaux culturels et toutes les sensibilités politiques, est indissociable d'une infrastructure numérique qui dégrade nos manières de vivre et de penser: diminution de l'attention et du temps de sommeil, surcharge informationnelle, surexcitation, consumérisme, etc. Si les séries sont à ce titre l'objet et la forme de notre époque, elles sont pourtant restées sous le radar de la critique -les «intellectuels» préférant réhabiliter ce genre supposé mineur, le parant de toutes les vertus, et non des moindres: instrument d'émancipation politique, refuge de la création esthétique et même outil thérapeutique.
Cet essai prend l'exact contrepoint de ces discours et développe une critique radicale des séries. En croisant réflexions sur le temps libre, la fiction, l'imaginaire, l'histoire et l'économie de l'attention, il rend compte des effets délétères de ce « passe-temps » sur nos existences, trop pleines, ou plus exactement vides à craquer.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle