Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
» Ici personne ne meurt «, lisons-nous dans ce cahier. C'est bien avec une rare ingénuité que Martin Melkonian en appelle à l'inscription calligraphique puis typographique : à une vérité de l'être mis en pages. Cette vérité ouvre un espace ou plutôt s'ouvre à l'espace du livre. Grâce à sa présence architecturale, sa respiration spécifique, le blanc des pages y est sa demeure. La perte annoncée dès l'ouverture (le titre) réside dans le «lâcher» de l'inscription ; le gain, dans le cahier fait livre. Et puisque, répétons-le » ici personne ne meurt «Un cahier pour se perdre invite à l'exploration de très anciennes traces mémorielles. Le lecteur dont le geste originel est de se pencher, éprouvera à coup sûr le vertige. Le vertige en poésie.
Martin Melkonian est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages. Il a publié aux éditions d'écarts : Conversations au bord du vide, Edward Hopper luttant contre la cécité, Les corps introuvables, Un cahier pour se perdre, L'enfance du regard.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !
Nouveaux talents, nouveaux horizons littéraires !
Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !