L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
De la tendance des pouvoirs politiques à mettre en veilleuse le mouvement associatif. Après s'en être pris aux vaches sacrées du marxisme-léninisme, dans un livre paru aux Éditions du Monde libertaire, Quand Marx, Engels, Lénine « flinguaient » les anarchistes, Justhom s'occupe, cette fois-ci, du mouvement associatif. Mais pas dans le même état d'esprit ! Dans une de ses nombreuses vies, avant de rencontrer le groupe de Rouen de la Fédération anarchiste et d'y adhérer, et après avoir milité au Parti communiste (il a même fait les écoles du Parti !), il a dirigé des structures d'insertion... associatives ! Alors, le mouvement associatif, il connaît bien ! Et parce qu'il fait sienne la devise latine « qui bene amat, bene castigat », en Français, « qui aime bien châtie bien », il le fustige en bon anarchiste qu'il est. L'association, la libre association, ça lui parle ! Il est évidemment pour. Car, enfin, cette gigantesque entité et ses millions de membres ne sont-ils pas ce que d'aucun a nommé la société contre l'État ? Et, c'est donc fort de ses convictions libertaires, que, dans ce livre, il passe au crible ce mouvement associatif de ses origines à nos jours, pour lui reprocher ce rendez-vous manqué avec l'émancipation des individu(e)s et l'autogestion, pour regretter qu'il soit devenu ce vaste conglomérat plus ou moins aux mains, par le jeu des subventions, d'arrivistes et de chefaillons politiques de tout bord.
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