Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Je parle de Jérusalem conclut la trilogie dont Soupe de poulet à l'orge et Racines forment les deux premiers volets. Nous somme en 1956, et tous les enfants Kahn sont réunis au domicile familial. Ada et David ont échoué dans leur retour à la terre, et, désenchantés, reviennent à la ville. Ronnie ressemble de plus en plus à son père, que son inadaptation à la société et sa paresse ont conduit à sa perte. Seule la mère, Sarah, n'a pas perdu cette foi qu'elle appelle communisme, et qui la pousse à vivre dans le seul but d'améliorer la société à laquelle elle appartient. L'unité de cette trilogie réside dans l'évolution du désenchantement des ouvriers qui ont cru à une révolution sociale au lendemain de la dernière guerre et qui se heurtent à l'«establishment». Ce théâtre, où la critique politique et sociale est toujours présente, n'est pas un théâtre de la violence. Les personnages de Wesker sont chaleureux, attachants, peints avec beaucoup d'humour et de tendresse.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !