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Dix ans après, Philippe Forest revient sur l'événement qui fut à l'origine de son premier roman, L'enfant éternel. Le récit d'hier est devenu un essai. Que peuvent signifier dans notre monde aujourd'hui la maladie et la mort d'un enfant ? Le chagrin provoqué par la perte, l'effarement devant la vérité crue et la révolte exigent d'être pensés sans répit. Les mythologies mensongères, le prétendu «travail de deuil», le recours à la religion et à tous ses substituts, la sentimentalité carnassière avec laquelle la société considère la souffrance des enfants forment les questions de fond soulevées dans ce livre. «Tous les enfants, sauf un, grandissent», écrivait James Barrie au début de son Peter Pan. Le premier roman de Philippe Forest citait cette phrase qui donne son titre à l'essai qu'on va lire, car la mort d'une enfant constitue en soi une exception à la règle de la vie.
Je n’ai pas pu en lire plus de 20 pages.
Non pas qu’il soit mal écrit. Mais le sujet traité m’a plongée dans une telle tristesse et une telle angoisse que je ne peux pas en continuer la lecture.
D’après la quatrième de couverture, ce document est un témoignage touchant d’un père qui a perdu son enfant.
Je ne mets pas en doute la qualité de l’écriture, le choix du sujet et le besoin de l’auteur de noter noir sur blanc ses émotions. Je respecte cette nécessité, mais je ne peux absolument pas aller plus loin dans la découverte de cette épreuve.
Et je m’en excuse sincèrement.
Belle réflexion sur notre société via l'hôpital public français.
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