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Au nom de quoi seriez-vous prêt à tuer ?
À la suite d'une guerre nucléaire dévastatrice, la population des États-Unis s'est retrouvée décimée. Un groupe de survivants a fini par se former, mais en son sein s'est joué une lutte de pouvoir entre deux familles pour la présidence de la petite nation. Les Westfall ont perdu. Cinquante ans plus tard, les fils et les filles des adversaires d'autrefois sont contraints de s'épouser, chaque année, dans une cérémonie censée assurer l'unité du peuple.
Cette année, mon tour est venu.
Je m'appelle Ivy Westfall, et je n'ai qu'une seule et unique mission dans la vie : tuer le fils du président que je suis destinée à épouser. L'objectif, c'est la révolution, et le retour au pouvoir des miens. Peu importe qu'un coeur de chair et de sang batte dans sa poitrine, peu importe qu'un innocent soit sacrifié pour des raisons politiques. Peu importe qu'en apprenant à le connaître, je fasse une rencontre qui change ma vie. Mon destin est scellé depuis l'enfance.
Bishop doit mourir. Et je serai celle qui le tuera.
Née pour trahir et faite pour tuer. Sera-t-elle à la hauteur ? Book of Ivy est le premier roman d'Amy Engel, à la fois suspense insoutenable, dystopie cruelle et histoire d'amour torturée.
Je ne lis pas souvent de dystopie mais j'avais tort de ne pas le faire !
Cette lecture m'a reconciliée avec le genre.
L'histoire est prenante. Les moments calmes alternent avec des moments sacrément rythmés où le suspense est intenable. L'univers est rude et difficile, mais finalement pas si éloigné de notre vie actuelle, ce qui rend les évènements beaucoup plus réels.
En trame de fond, les deux héros, Ivy et Bishop se découvrent et évoluent ensemble. Ils sont très attachants et touchants.
Bishop est parfait dans son rôle : prévenant, attentionné et franc.
Ivy est droite, fonceuse et courageuse.
La plume d'Amy Engel est addictive et fluide.
Les deux tomes sont très différents l'un de l'autre et marquent la progression des personnages. On vibre avec eux, on a peur avec eux. On ressent de belles émotions.
chronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2015/06/chronique-litteraire-book-of-ivy-de-amy.html
Je me suis laissée tenter car l'engouement sur la toile pour ce livre a attisé ma curiosité.
Cependant, ce n'est pas du tout un coup de coeur.
C'est un livre qui se lit bien, vite et facilement. Un rythme quelque peu lent ou peut être est-ce le manque d'action. Moi qui suis très friande des dystopies, pour le coup, ce n'est pas une dystopie exceptionnelle. Je ne l'ai trouvé pas du tout développé, on en sait peu. Et le peu qui est décrit, cela m'a fait pensé à Divergente. C'est dommage car la dystopie est intéressante, mais pas assez exploitée à mon goût.
Je ne me suis pas vraiment ennuyée mais, en fait, j'attendais de savoir s'il allait se passer quelque chose, Car, après tout, c'est loin d'être une lecture désagréable, mais bon je voulais comprendre pourquoi il avait tant de bonnes critiques.
J'ai trouvé le personnage principal, Ivy, un peu fade, sans saveur, mollasse et surtout très malléable.
On n'a clairement pas affaire à une combattante, qui est sûre d'elle et de ses choix, en contradiction avec ce qui ressort de la quatrième de couverture. Elle ne sait pas ce qu'elle veut, un coup c'est oui, un coup c'est non. Elle a vraiment du mal à penser par elle même et remettre en question ce qu'on lui raconte. Cela peut s'expliquer par la relation difficile qu'elle entretient avec sa famille, mais bon, je ne l'ai pas trouvé très aguerrie.
J'ai trouvé quelques similitudes avec la trilogie Insaisissable, notamment dans la manière que l’héroïne appréhende et analyse ses émotions et sentiments.
Bishop, quant à lui, il n'a rien à voir : il est volontaire, sait ce qu'il veut, n'hésite pas à douter des autres et se fait sa propre opinion. C'est quelqu'un de fiable, honnête, et en qui on peut avoir confiance.
C'est vrai que c'est un peu un Roméo et Juliette revisité, qui apporte un peu de fraicheur. mais en bien moins compliqué.
Les retourments de situation sont soudains et sans forcément d'explication. L’héroïne est une vraie girouette dans sa façon de penser etc..
Mais après, il y a de quoi ravir des lecteurs, notamment avec des thèmes comme l'amour, la manipulation..
En bref, pour moi, il n'y a pas assez d'action, je l'ai trouvé l'histoire assez plate. Le personnage de Bishop est intéressant tout de même.
Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com
Lorsque la quatrième de couverture n’en dévoile pas suffisamment…
Cette saga dystopique ayant fait le tour de la blogosphère, impossible pour moi de la rater ! Il faut dire que je l’avais remarquée dès sa sortie aux éditions Lumen. A l’époque, je l’avais simplement notée quelque part dans un coin de ma tête, pour y revenir plus tard.
J’ai donc profité de sa réédition au format poche – merci Pocket jeunesse ! – pour me lancer dans cette duologie qui, je dois bien l’avouer, était pleine de promesses. Mais, alors que l’on m’annonçait complots, trahisons et rébellion, j’y ai plutôt découvert une histoire d’amour, certes très belle, mais un peu trop présente ! En effet, on ne fait jamais qu’effleurer l’intrigue principale, à savoir les tentatives de la famille Westfall pour prendre le pouvoir, ce qui m’a considérablement frustrée !
Bref, une énorme déception sur ce point ! Néanmoins, j’ai fini par me faire une raison pour m’intéresser à la romance naissante entre Ivy et Bishop…
Une histoire à la Roméo et Juliette
Si j’ai apprécié de voir les sentiments de nos deux héros évoluer au fil de ma lecture, il m’est arrivé de lever les yeux au ciel à plusieurs reprises. Selon moi, l’auteure est de temps à autre tombée dans le piège du too much. C’est le cas, par exemple, lorsqu’Ivy développe une attirance, somme toute prévisible, pour son mari… tout en s’interdisant de le toucher. Cela manquait cruellement de subtilité ! Et c’est sans parler du jeu « action ou vérité » ou des multiples scènes de pelotage. Quels clichés !
Même s’il n’y a pas de lenteurs dans ce livre – en 300 pages, cela paraît difficile –, je me suis presque ennuyée à certains moments, le couple tournant littéralement en rond, alors que de plus grands enjeux étaient abordés en arrière-plan.
Ceci dit, la trame générale fonctionne ! Imaginez un instant un mariage forcé entre deux personnes que tout oppose – leur naissance, leurs envies et, surtout, leur famille ! – et que, malgré toutes ces divergences, elles en viennent à s’aimer. Voilà, le décor est planté ; c’est beau, c’est improbable et ça fait rêver ! Tous les ingrédients étaient donc réunis pour faire de cette romance un véritable succès, en particulier auprès de la gent féminine.
Une intrigue assez linéaire
Comme mentionné plus haut, le récit est uniquement centré sur la mission dévolue à Ivy et les réticences de cette dernière à l’accomplir. Et c’est avec joie que je l’ai suivie dans ses questionnements, ses doutes et cette terrible révélation : elle se sent incapable de tuer Bishop !
Pour autant, son rôle s’inscrit dans un plan qui la dépasse et j’ai trouvé dommage qu’Amy Engel n’exploite pas davantage cet aspect de l’intrigue, ainsi que les dissensions entre les clans Westfall et Lattimer. C’est comme si le cadre posé n’était qu’un prétexte pour raconter une belle histoire d’amour. Pourquoi ne pas avoir mélangé les genres, tout simplement ?
Un final qui ne verse pas dans la facilité
Si j’avais deviné l’essentiel du dénouement de ce premier volet, j’ai dévoré avec frénésie les derniers chapitres, qui réservent tout de même quelques surprises. J’ai ainsi découvert en Ivy une jeune fille courageuse, prête à tout pour protéger les gens qu’elle aime.
En conclusion, je n’ai qu’un seul souhait pour la suite : que l’auteure soit parvenue à mieux doser son intrigue. A voir, donc !
J'ai dévoré ce bouquin! Les pages se tournaient toutes seules
L'auteur nous pousse à réfléchir. Nous critiquons la société sans proposer de solutions. Rien n'est tout blanc ou tout noir.
J'ai beaucoup aimé les personnages, et je comprends maintenant pourquoi tout le monde est fou de Bishop.
Ivy est un personnage que j'admire. Elle est forte, courageuse, rebelle et n'a pas peur de dire ce qu'elle pense.
On suit Ivy dans ses réflexions: A qui faire confiance? Qu'es ce qui est juste de faire? Comment agir? Elle ne sais pas qui choisir: sa famille ou l'homme qu'elle aime. Elle fera également des découvertes que la bouleverserons...
La plume de l'auteur est envoûtante et addictive. L'intrigue devient de plus en plus complexe et cette fin.
Je me suis procurée le tome 2 le lendemain même :p
Mais quelle fin !! :0
Je ne m'attendais pas mais alors vraiment pas à cette fin !
L'histoire que vie Ivy est très touchante !
Nous suivons son "quotiden" comme si on était avec elle
Nous apprenons également à découvrir ce fameux Et mystérieux Bishop
Très hâte de lire la suite :)
L'un des plus beaux livres que je n'ai jamais lu pour ma part ! Un de ses romans qu'on dévore en une après-midi, qui nous rend detestable de notre propre personne par le fait de le terminer trop vite ! On adore l'intrigue, les personnes , l'ambiance...Si vous hésitez à le lire, foncez !
Lumen sait indéniablement comment séduire ces lecteurs, attiser leur curiosité. Comment ? En proposant des histoires de qualité avec en bonus des couvertures magnifiques et des résumés tentateurs. En tout cas, ma curiosité a été attisée depuis que j’ai reçu ce fameux faire part m’invitant au mariage d’Ivy et Bishop.
Non mais regardez-moi cette couverture ! On ne peut pas passer à côté de cette jeune fille en robe de mariée, couteau à la main sans être irrémédiablement attiré. Puis cette phrase d’accroche, bien prometteuse, annonciatrice du meilleur «Née pour trahir et faite pour tuer… Sera-t-elle à la hauteur ? » finira par vous convaincre.
The Book of Ivy d’Amy Engel m’a-t-il conquis ? Oui, assurément ! J’ai eu un énorme coup de cœur pour cette histoire ! Cette romance à la « Roméo et Juliette » sur fond post-apocalyptique m’a conquise !
Pour être franche, l’action n’est pas omniprésente et la dystopie y est plutôt basique mais j’ai dévoré ce roman en quelques heures. On se prend aisément au jeu. On veut absolument découvrir les personnages et voir comment ils vont évoluer aux contacts des uns et des autres. Je n’ai pas su le reposer avant de connaitre le fin mot de l’histoire. J’ai vraiment été prise par ce destin captivant d’une jeune fille qui est née pour trahir, faite pour tuer mais tombée amoureuse de sa mission.
Le point fort de ce roman est incontestablement les personnages principaux : Ivy et Bishop. Il y a une alchimie vraiment réussie, presque palpable entre eux.
J'ai vraiment adoré le côté post apocalyptique et dystopique de l'histoire. Même si la dystopie est plutôt basique voire habituelle, elle n’en reste pas moins très sympathique et prenante. Nous découvrons un monde, 50 ans après qu’une guerre nucléaire ait décimée la population. J’ai bien aimé l’univers dystopique mis en place par Amy Engel où les fils et filles des adversaires passés sont contraint de s’épouser afin d’unir le peuple. Ce côté monarchie contre démocratie… chacun a ses avantages et ses inconvénients dans un tel contexte post-apo. Cela donne un petit côté réaliste qui a su me séduire.
Même si l’action n’est pas omniprésente, la tension est quant à a elle l’est bien. Elle opère, à chaque page, montant crescendo, à mesure que l’on voit le personnage d’Ivy évoluer au contact de Bishop et de sa nouvelle vie. On se demande si finalement elle arrivera au bout de sa mission ou va-t-elle tourner le dos à sa famille, à ce qu’elle a toujours connu.
Nos deux héros sont vraiment bien travaillés, ils sont touchants. Notre héroïne Ivy est une jeune fille plutôt intraitable, qui gagne en maturité mais surtout en ouverture d’esprit. J’ai vraiment adoré suivre son évolution au côté de Bishop, de la voir penser par elle-même, loin des idées préconçues et de l’influence de sa famille. C’est un personnage remarquable et courageux. Que dire de Bishop ? Le gendre par excellence ! Il est vraiment charmant. Vous ne résisterez à aucun des deux, on est obligé de les aimer tant ils sont complémentaires !
Je dois avouer que l’auteur fait partie de ceux que je considère de la classe des auteurs sadiques. Elle vous livre une histoire remarquable, qui saura vous tenir en haleine tout au long mais qui vous rendra aussi impatient vu la fin incroyable qu’elle nous a servi. J’aime ce genre de fin, de retournement de situation qui vous rend complètement et irrévocablement accro et impatient.
Je vous confirme les derniers propos de Lumen sur sa 4ème de couverture : une belle histoire d’amour torturée, un thriller psychologique doux mais prenant et une dystopie un peu cruelle. The Boof of Ivy vous entrainera dans un compte à rebours haletant dont vous ne sortirez pas indemnes ! Chaudement recommandé !
The Book of Ivy est une dystopie dont j'ai beaucoup entendu parler et qui a eu son petit succès, couronné par une sortie en poche fin d'année dernière. Le livre m'a plu dans son ensemble, je l'ai très vite dévoré, mais j'ai aussi trouvé que c'était une lecture un peu facile.
Dans le monde de notre héroïne, Ivy, une troisième guerre mondiale nucléaire a complètement ravagé la Terre. Les quelques survivants se sont organisés et ont réussi à recréer un semblant de société au sein de la ville de Westfall. Une société très stricte, entourée d'un grillage, où la moindre erreur équivaut à se faire expulser hors de la ville où plus rien ne subsiste, et où on subit des mariages arrangés pour maintenir la paix. Car la ville a été fondée à la suite de l'affrontement de deux familles : les Westfall, celle d'Ivy, qui voulait créer une démocratie, et les Lattimer, celle de son futur mari qu'elle est obligée d'épouser, qui voulait instaurer une dynastie, et qui a gagné. Mais si Ivy se plie à ce mariage, c'est parce que sa famille a un plan pour changer cette société qu'elle trouve injuste : Ivy va devoir tuer Bishop, le fils du président, le jeune homme qu'elle va épouser, pour enclencher la révolution qu'ils attendent tous.
The Book of Ivy est donc une dystopie plutôt classique, on comprend très vite l'histoire mais aussi les enjeux. Car bien sur qui dit dystopie, dit société se voulant parfaite, mais cachant plein de petits problèmes. Pourtant, au fur et à mesure que l'on avance dans le récit, j'ai vraiment aimé cette confrontation entre la vision qu'a Ivy de cette société et celle qu'en a Bishop. Le lecteur se rend très vite compte que rien n'est tout blanc ou tout noir, le livre nous permet de réfléchir et c'est un aspect que j'ai beaucoup apprécié.
Amy Engel nous fait aussi beaucoup réfléchir sur la condition de la femme. C'est un véritable livre féministe qu'elle nous offre, nous faisant un tour d'horizon des injustices que subissent les femmes encore aujourd'hui (mariage forcé, femmes battues, femmes objets), et qui subsistent dans cette société qui joue sur le bien commun.
Mais tout ça est un peu facile et entendu. C'est bien d'en parler, mais j'ai trouvé que l'auteur n'allait pas très loin. Le récit est aussi un peu prévisible. On sait très bien qu'Ivy va finir par tomber amoureuse de celui qu'elle est censée tuer et que ça va changer tous ses plans. Pourtant, on continue à lire car c'est terriblement addictif, on a envie de lire le moment où il vont enfin tomber pleinement amoureux et on a envie de savoir ce qu'Ivy va faire, tout en sachant très bien ce qui va arriver.
Bref, c'est un livre qui se lit bien mais qui ne surprend pas vraiment. J'ai cependant assez envie de lire la suite car on est susceptible d'en apprendre un peu plus sur le monde post-apocalyptique d'Ivy. C'est vraiment un livre efficace dont je comprends l'engouement même si je n'ai pas été pleinement conquise.
http://bookshowl.blogspot.fr/2017/01/the-book-of-ivy-tome-1-amy-engel.html
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