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Hélène, la cinquantaine paisible,mène une vie sans histoire auprès de son mari, de son fils, de sa fille et de ses petits-enfants. Hélène est une épouse modèle, une femme parfaite. Un jour d'été caniculaire à Paris, sur un coup de tête, elle cède aux avances d'un inconnu. L'adultère vire au cauchemar quand, au lit, l'amant sans nom meurt d'une crise cardiaque. Hélène s'enfuit, décidée à ne jamais en parler et, surtout, à tout oublier. Mais, dans son affolement, elle laisse son sac à main... avec ses papiers. Happée par une spirale infernale, Hélène ira très loin pour sauver les apparences. Très loin, mais jusqu'où ? Dans ce roman au suspense hitchcockien, Tatiana de Rosnay explore les arcanes de la bonne conscience et la frontière fragile entre le bien et le mal.
Comment se retrouver dans une spirale infernale de soucis alors que tout allait bien.
Hélène est une femme tranquille la cinquantaine pour qui la vie se déroule sans embuches, mariée, des enfants, des petits enfants, un mari connu qui gagne bien sa vie.
Ce qui lui permet de s'adonner a des activitées caritatives.
Mais voila qu'un jour elle va rencontrer un homme qui va la séduire, chose qui ne lui est jamais arrivé et qui va l'obséder.
Hèlène retournera quelques jours plus tard au mème endroit afin de retrouver cet homme et ce qui va lui arrivé est bien prévisible sauf que...
Son amant va etre pris d'une crise cardiaque après leurs ébats et hèlène va choisir de s'enfuir, elle se convaincra d'oublier tout ça et de ne jamais en parler.
Mais quelques jours plus tard la police va remonter jusqu'a elle car dans sa fuite elle a laissé son sac chez son amant...
Ce qui va s'ensuivre est une suite sans fin et j'insiste bien car pour moi la fin n'est pas aboutie.
Le roman relève d'un bon suspense mais la fin est un peu trop rapidement menée...dommage.
Hélène, femme d'éditeur, a une petite vie tranquille, bien rangée, ne manque de rien. Son fils la surnomme "Ste Hélène"... Coup de folie, Hélène suit un inconnu dans la rue pour une aventure sexuelle. Une première pour elle et qui ne se renouvellera pas car l'inconnue en question meurt dans ses bras d'un infarctus. Elle s'enfuit et dans la précipitation, oublie son sac. Commence alors pour elle l'enfer. Les mesonges à la police, à son mari, à ses enfants. Cela ne suffit pas, une jeune sans papier l'a vue et la fait chanter, n'hésitant pas à sonner chez elle. Hélène vit dans la terreur que son mari découvre la vérité et s'enfonce de plus en plus dans les mensonges. Et ça n'en finit pas ! Une mort sur sa conscience ne suffit pas à l'auteur... Je n'en dirai pas plus.
A la fin, on se demande si tout cela n'a pas été rêvé, si la culpabilité n'a pas amené Hélène à la folie. L'auteur nous laisse choisir. C'est bien écrit, se lit très vite, le rythme est haletant mais Hélène m'a agacée dès le début. Et tout cela reste un peu tiré par les cheveux. Je n'ai pas apprécié la fin qui n'en est pas une.
Hélène est une bourgeoise dans la cinquantaine, bien établie dans la vie. Rien ne saurait la faire sortir de sa ligne de conduite, avant qu'une rencontre hasardeuse et pulsionnelle finisse par bouleverser la quiétude de son quotidien...
Ce roman nous entraîne à l'intérieur des tourments d'Hélène qui a commis l'irréparable. Son égarement va la poursuivre et la hanter, pour ne plus jamais la quitter.
Pour sauver les apparences, elle cumule dissimulation et mensonges. On est connecté à sa peur et à son sentiment d'insécurité. La tension enfle progressivement et nous précipite dans quelque chose de dense et étouffant. C'est aussi périlleux qu'insoutenable, cette immersion fragile et intime, et on se laisse ainsi convaincre par l'escalade d'événements. Il y a une volonté farouche de paraître maîtresse de ses émotions.
L'écriture est fluide, les chapitres sont courts et engrangent un rythme mécanique et anxiogène. C'est parfois un peu gros et il faut bien l'avouer, voire même théâtral. On peut être mal à l'aise, quant aux réactions négligentes d'Hélène.
On parle de morale, de conscience et comment l'individu s'arrange avec tout cela. L'héroïne s'enferme dans un isolement dont elle est finalement la seule responsable et instigatrice.
Un roman court, pour dire la panique, l'irréversible avec un sens aigu du discernement.
Hélène, mariée à un éditeur, est une bourgeoise Parisienne qui s'encanaille avec un homme l'ayant abordée dans la rue. Un unique coït, une unique mort, et c'est le drame qu'il faut taire par peur des sarcasmes criant de vérité. Spirale infernale du mensonge. La fin déroute, sans en être une. Un point ?
J'aime la plume de cette auteure.
Et les conseils de lecture qu'elle nous donne sur insta
On a envie de découvrir la chute des le départ. C'est bien mené. Mais je n'aime pas la fin. Dommage!
Hélène, une femme bourgeoise, a une vie bien rangée, une vie un peu à la marge et se met dans une situation hors du commun. Elle va voir une amie malade et rencontre un homme qui lui fait des avances. Elle est choquée et repart chez elle. Puis elle décide de revenir voir cette amie et fait en sorte de retomber sur cet homme. Ils finissent par coucher ensemble, … mais l’homme a une crise cardiaque pendant l’acte et perd la vie.
S’en suit alors une spirale pour notre héroïne. Elle va mentir à son entourage, en l’occurrence à son mari. Non pas par rapport à son infidélité, puisque son mari lui-même lui a été infidèle, mais bien par rapport du qu’en-dira-t-on. Elle, une bourgeoise bien rangée, à qui tout réussit, qui a eu des enfants, comment a-t-elle pu coucher avec un homme à qui elle n’a jamais parlé et qui est mort dans ses bras.
Comme elle ne s’est jamais plainte, personne ne va s’inquiéter pour elle malgré sa tristesse, ses angoisses, …
C’est le deuxième livre que je lis de cette auteure (en plus de Moka) et j’ai vu deux films adaptés de ses romans (Boomerang et Elle s’appelait Sarah). A chaque fois, Tatiana de Rosnay parle de femmes qui se posent 30 questions par minutes et c’est bien ce qui est le plus frustrant dans ses livres. Les situations de départ sont très intéressantes, on a envie de connaître la fin. On vit l’angoisse du personnage principal, on vit en même temps ce que vit. Et c’est ce qui nous emporte facilement et nous fait tourner les pages les unes après les autres. C’est ce que j’apprécié dans les romans de Tatiana de Rosnay.
Le gros hic de ce livre est la fin. En fait, la fin est tellement ouverte que l’auteure nous laisse seuls face à nos interrogations et il nous reste à imaginer ce qui a pu se passer pour Hélène. Beaucoup de lecteurs ont été surpris par cette fin.
En bref, une bonne lecture même si la frustration a été grande face à cette fin.
Peut-être le roman de Tatiana de Rosnay que j'ai le moins aimé...
Une histoire qui pourrait être celle de n'importe qui à n'importe quel moment.
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