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Sortir de l'europe , question de vie ou de mort

Couverture du livre « Sortir de l'europe , question de vie ou de mort » de Falento Alain aux éditions Riposte Laique
Résumé:

« ll ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ??.Cette déclaration de Jean-Claude Juncker, ancien Président de laCommission européenne, sonne comme un avertissement, car elle estmalheureusement juridiquement exacte.Pendant 40 ans, la construction européenne s'est... Voir plus

« ll ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ??.Cette déclaration de Jean-Claude Juncker, ancien Président de laCommission européenne, sonne comme un avertissement, car elle estmalheureusement juridiquement exacte.Pendant 40 ans, la construction européenne s'est déroulée sans nous ;depuis la ratification du traité de Maastricht, elle se fait malgré nous.L'euro ne constitue absolument pas une sécurité pour la France et lesFrançais, au contraire. L'Allemagne vampirise l'Europe. La guerremenée contre la Russie, sous l'égide de l'0tan, va d'abord frapper lespeuples européens, et accélérer l'inévitable krach financier.Les instances européennes mettent délibérément nos vies en danger.La monnaie numérique que l'Union européenne rêve de mettre enplace dissimule une ultime spoliation des citoyens. Après le passesanitaire, ils rêvent de mettre en place le passe climatique, pour allervers un contrôle social à la Chinoise dela population.Si nous ne prenons pas collectivement conscience de l'état critiquede la situation, en sortant de l'Union européenne et de l'euro, nousallons entériner la disparition d'un pays vieux de 1500 ans.ll est encore possible déviter cette catastrophe, mais le temps nousest compté.Question de vie ou de mort.

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Avis (1)

  • Les deux « pères » de l’Union Européenne furent Jean Monnet et Robert Schuman. Le premier fut conseiller de Roosevelt, agent de la CIA et richissime homme d’affaires aux Etats-Unis. Le second qui fut 14 fois ministre de nombreux gouvernements, officia sous Pétain, se cacha dans des monastères...
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    Les deux « pères » de l’Union Européenne furent Jean Monnet et Robert Schuman. Le premier fut conseiller de Roosevelt, agent de la CIA et richissime homme d’affaires aux Etats-Unis. Le second qui fut 14 fois ministre de nombreux gouvernements, officia sous Pétain, se cacha dans des monastères pendant la guerre et se retrouva frappé « d’indignité nationale » à la Libération. Dès le départ, il aurait fallu se méfier. Mais cette « construction » européenne se pratiqua à petits pas pour ne pas choquer les opinions publiques, bribe par bribe, un peu selon la tactique du « voleur chinois » en commençant par une certaine CECA (Communauté économique du charbon et de l’acier, chacun sait aujourd’hui ce qu’il est advenu de ces deux filières), puis en progressant par étapes, au fil des traités, pour en arriver à une sorte d’accomplissement avec la création de l’euro, en passant par la Pac, les accords de Schengen, les entrées successives de nouveaux pays avides de subventions communautaires, les traités de Maastricht et de Lisbonne et la mise en place de Frontex qui devait défendre les frontières extérieures de l’Union. À Lampédusa, Vintimille, Algesiras, Calais et jusqu’en Pologne, chacun a pu admirer son efficacité. Alors quelques années après le Brexit qui a fait la démonstration que la Grande-Bretagne n’a pas connu le chaos annoncé partout, tout citoyen un brin averti peut se poser la question : pour ce « machin » de Bruxelles (dixit de Gaulle), stop ou encore ? Frexit ou pas ? Qu’avons-nous à perdre ou à gagner dans les deux cas de figure ?
    « Sortir de l’Europe » est un essai en forme de réquisitoire fort bien argumenté qui présente la liste interminable des inconvénients, des risques et des dangers que nous avons à rester dans cette entité qui nous coûte plus cher qu’elle ne nous rapporte. On nous l’a vendue comme étant facteur de paix, de sécurité, de plein emploi et de prospérité. Un demi-siècle plus tard, il est difficile de ne pas constater que ces promesses étaient toutes fallacieuses à moins de considérer que nous vivons dans un monde orwellien où la paix c’est la guerre (Ukraine), la sécurité ce sont les agressions à chaque coin de rue et la prospérité c’est la désindustrialisation, le chômage de masse, le naufrage de notre agriculture, les tarifs démentiels des énergies et la paupérisation rampante par le biais d’une inflation et d’une dette impossibles à maîtriser. Fallait-il perdre toute indépendance, toute souveraineté jusqu’à celle de battre monnaie en échange de ça ? Nos dirigeants et nos chefs d’État n’ont plus aucun pouvoir réel. Ils ne font qu’entériner toutes les décisions européennes. Le Parlement européen lui-même n’est qu’une chambre d’enregistrement. Le véritable et unique lieu de pouvoir est la Commission Européenne dans laquelle un certain nombre de technocrates coaché par une dirigeante teutonne recyclée décident aussi bien du diamètre des roues de bicyclettes que de nous faire participer à une guerre sans jamais avoir été élus et sans jamais nous avoir demandé notre avis. Livre à faire lire à tous ceux qui ne sont pas encore convaincus qu’il est grand temps d’en finir !

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