Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Le mot « S.K.beau » (à lire : escabeau) est inventé par
Jacques Lacan en 1975 à propos de la tentative de James Joyce de démantibuler la
langue anglaise. De fait, il remplace celui, usé, de sublimation. Dans cet
essai, il est réemployé avec sa typographie étonnante, pour dénuder ce réel
auquel l'artiste se confronte : au coeur du Beau et du Sublime, toujours ce S.K.
- bouts de jouissance opaques, hors sens. Quelles conséquences
tirer de ce changement de paradigme ? De nombreux créateurs (écrivains,
peintres, photographes, metteurs en scène de théâtre, acteurs...) sont
convoqués. On ne leur demande pas leurs papiers, on ne les interprète pas. Le
même fil est tiré : chacun d'eux bricole de façon singulière avec l'incurable
du réel. Pourquoi le font-ils ? Comment s'y prennent-ils ? Quelles sont leurs
pratiques, leurs impasses, leurs réussites ? Lacan a pu avouer son embarras
quant à l'art signalant au passage que Freud ne se débrouillait pas mieux. Loin
des balivernes fleur bleue où l'on confine souvent les artistes, une question
fait retour : pourquoi donc l'art embarrasse-t-il le psychanalyste ? Hervé Castanet, membre de l'École de la Cause freudienne, est
psychanalyste à Marseille. Professeur des Universités, il a publié une vingtaine
de livres et en a coordonné une quinzaine d'autres collectifs.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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