Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Par-delà les plages infinies d'Essaouira, le romantisme de ses remparts, son ciel d'azur et ses restaurants fleurant la nostalgie, le narrateur de la Rue de la ruine, Moulay Brahim fils de Moulay Brahim, nous raconte sa misère au quotidien.
On le croit parler des misérables, il parle des riches ; on le croit parler des pauvres et des riches, il parle de la vie et de la mort, de tout le monde et de personne. Sérieux, il ironise ; obséquieux, il se moque. Il n'a qu'un souci : nous aider à aimer la vie, à ne jamais nous fatiguer de nous-mêmes.
C'est à la fois une lecture et un entretien.
Sacré Moulay Brahim !
Le vin, non ! les femmes, non ! le porc, non ! le poisson entre parenthèses. Et quand c'est "oui", ce n'est jamais n'importe comment. C'est toujours comme ils veulent. Celui qui se sait inutile se donne toujours des raisons. Zorro se trouve interdit de consommation, interdit de séjour. Interdiction de manger à volonté, interdiction de boire à volonté, interdiction de besogner. ...
Zorro est un clandestin de la consommation. Clandestin au Maroc, clandestin en Europe, clandestin partout ! Un condamné à mort à la naissance. Un condamné à mort par la naissance.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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