Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Selon André Breton : « Il n'y a que le merveilleux qui soit beau ». C'est tout le défi de la représentation du réel tel qu'il se pose au photographe ou au philosophe : le réel est voilé, et c'est au regard de retrouver le sens perdu des choses et de ré-enchanter le monde. À première vue figuratif, le travail de Michel Diaz subvertit le réel tangible pour se concentrer sur l'interaction entre les reflets et les contours. En partant de l'omnipotence de la lumière blanche qui fait et défait les formes, redéfinit leur densité et souligne la facticité des contenus, Michel Diaz explore la relation entre visible et invisible, source de tous les possibles, pour dresser une cartographie de lieux surréels où la dissolution des motifs et l'effondrement des représentations concourent à un rejet de la figuration.
Dans cette promenade urbaine où l'ironie et la sensualité ne sont pas exclues, l'inachèvement des formes suggère une essence, qui toujours se dérobe.
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