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Réaliser son étui pour un couteau de style nordique

Couverture du livre « Réaliser son étui pour un couteau de style nordique » de Thomas Lofgren aux éditions Crepin Leblond
Résumé:

Thomas lofgren a réalisé son premier couteau voici déjà 25 ans, avec une lame industrielle, un simple morceau de bois profilé et des intercalaires d'écorce de bouleau.
Il n'y avait certes pas là de quoi impressionner qui que ce soit, mais, par contre, bel et bien le début d'une vocation ! peu... Voir plus

Thomas lofgren a réalisé son premier couteau voici déjà 25 ans, avec une lame industrielle, un simple morceau de bois profilé et des intercalaires d'écorce de bouleau.
Il n'y avait certes pas là de quoi impressionner qui que ce soit, mais, par contre, bel et bien le début d'une vocation ! peu à peu, les formes et les finitions se sont améliorées, grâce à l'aide de couteliers plus expérimentés, qui n'ont jamais hésité à partager généreusement leurs connaissances avec lui. tout au long de sa carrière en tant qu'officier des forces armées suédoises, thomas lofgren a travaillé dans le domaine éducatif.
Au cours des dix dernières années avant sa retraite en 2005, il a été "responsable de projet" pour la réalisation d'ouvrages et de divers matériaux éducatifs, en particulier dans le domaine de la sécurité routière. le présent ouvrage a été créé grâce à l'expérience acquise dans le domaine de la formation, et avec l'idée de faire partager à d'autres son intérêt pour la coutellerie artisanale et de leur montrer les tours de main qui lui ont été jadis généreusement transmis.
A l'heure actuelle, thomas lofgren réalise aussi bien des couteaux de chasse et des utilitaires que des couteaux d'art. il utilise de très beaux bois stabilisés, de magnifiques morceaux d'ivoire fossile (mammouth, morse), et des lames (souvent en damas ou en damas mosaïque) forgées par les meilleurs spécialistes scandinaves. il vend ses couteaux, ainsi que ceux de son fils claes, sous le nom de " lofgren knives ", et tous les deux participent chaque année aux salons de ludvika et stockholm en suède, de paris (sicac) en france et de los angeles aux usa.
Ces salons sont pour lui des moments privilégiés pour se procurer des matériaux intéressants, renouer des contacts, rencontrer de nouveaux couteliers. et bien sûr de nouveaux collectionneurs.

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