Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
C'est à Victor Cousin (1792-1867) que l'on doit la première traduction française intégrale du corpus platonicien, publiée entre 1822 et 1840. Sont réunis ici les « Arguments philosophiques » dont il a accompagné les dialogues contenus dans les sept premiers volumes (sur treize) de la série et deux cours sur Platon professés à l'École Normale en 1835, restés jusqu'ici inédits.
La traduction de Cousin a favorisé l'étude de Platon à un point jamais atteint jusque-là et maintenu depuis : c'est elle qui a donné à Platon la place qu'il tient encore dans l'enseignement et le débat philosophique français. Les commentaires dont Cousin a assorti sa traduction ne se ramènent pas à un pan oublié de l'histoire des études platoniciennes en France. On peut leur reconnaître le mérite d'avoir contribué à la constitution de la philosophie française.
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