Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Petites scènes de la vie en papier

Couverture du livre « Petites scènes de la vie en papier » de Michel Ohl aux éditions Table Ronde
  • Date de parution :
  • Editeur : Table Ronde
  • EAN : 9782710378167
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

« Il faut savoir que par pur altruisme Michel Ohl a inté- gré le groupe des écrivains imaginatifs débordants sans le moindre commentaire. Avec ses pairs Maurice Roche, Jean-Pierre Verheggen, Alphonse Allais, Raymond Que- neau, Boris Vian, Alfred Jarry et quelques moralistes ca- rabinés du genre... Voir plus

« Il faut savoir que par pur altruisme Michel Ohl a inté- gré le groupe des écrivains imaginatifs débordants sans le moindre commentaire. Avec ses pairs Maurice Roche, Jean-Pierre Verheggen, Alphonse Allais, Raymond Que- neau, Boris Vian, Alfred Jarry et quelques moralistes ca- rabinés du genre de Félix Fénéon, il s'est laissé classer dans ce club informel des gens d'esprit que les écrivains de la concurrence craignent plus que tout. Ajoutez à cela le goût personnel de Michel Ohl pour les collages à usage épistolaire et pour ses subreptices éditions à l'enseigne de Schéol (Chez Ohl), vous avez le portrait de l'original bravant les conventions d'un monde codifié qui n'apprécie rien tant que le sérieux et la morgue.
[Son frère, l'écrivain et libraire] Jean-Pierre Ohl, constate que ce dernier a créé «l'une des contrées les plus étranges, les plus drôles et les plus originales de la lit- térature française contemporaine». Lui qui se voyait en «zaporogue», par tropisme russophile, est en effet allé «au-delà des rapides», puisque c'est la signification de ce mot ukrainien. «Lire, boire, écrire, être Russe», se propo- sait en guise de programme ce vif cosaque de la phrase.
(...) Dans ces pages où se percutent les notes de zinc, les dé- tournements, les anagrammes (...), les calembours, les anecdotes, les récits de rêves fous et ses méditations de lecteur frénétique, ces pages où résonne le «mastaraglu», la langue des morts de son invention, on retrouve toute la jubilation et toute la déflagration de la littérature en marche. (...) » Extrait de la préface d'Éric Dussert.
Du même auteur, également à paraître en mars 2017 :
La poule pond (suivi de Sonica mon lapin), Vermillon.

Donner votre avis