Vous aimez les polars ? Alors venez par ici : choisissez, lisez et chroniquez !
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Varg Veum est un détective privé engagé par une mère détruite sous le chagrin. Sa fille, Mette, âgée de 3 ans à l'époque, a disparu du bac à sable où elle jouait 25 ans plus tôt. L'objectif de Veum est alors de découvrir ce qu'il s'est réellement passé 25 ans plus tôt et de creuser jusqu'où la police de l'époque n'a pas su aller. En parallèle des recherches de Veum, un cambriolage à lieu impliquant l'un des protagonistes habitant à côté de chez Mette. Veum tente alors par tous les moyens de découvrir la vérité.
Où les roses ne meurent jamais est le premier roman de Gunnar STAALESEN que j'ai l'honneur de lire. Les polars norvégiens possèdent une ambiance particulière qui leur est propre, et c'est ce que j'aime. Le suspens est à son comble jusqu'à la fin, et je n'aurais jamais imaginé un tel dénouement!
Les courts chapitres donnent un bon rythme à l'histoire et les nombreux rebondissements permettent de ne jamais s'ennuyer.
Les personnages sont «réels», humains. Ils ne sont pas idéalisés et c'est ce qui rend l'histoire plus vraie.
Merci pour cette incroyable histoire qui m'a fait versé quelques larmes aux dernières pages.
Dans les années 70, Mette tout juste 3 ans disparaît du bac a sable dans lequel elle jouait.
25 ans plus tard, sa mère Maja est toujours hantée par ce jour maudit, ne pas savoir ce qui est arrivée à sa fille est pire que tout. Alors que la date de prescription approche à grand pas, elle décide de faire appel à un détective privé Varg Veum pour jeter un œil sur le dossier d'enquête concernant la disparition de sa fille.
Varg Veum saint patron des causes perdues se plonge dans cette enquête et part à la découverte des premières communautés d'habitation. Difficile de raviver les mémoires après tant d'années surtout quand la plupart des témoins de l'époque ont déménagé ou se montrent réticents.Luttant conter son addiction à l'aquavit tout en ce concentrant sur l'enquête , Varg va de secrets en mensonges jusqu'à obtenir la vérité.
Pour moi il s'agit du premier roman de Gunnar Staalesen que je découvre malgré une belle bibliographie et je dois dire que le style d'écriture m'a beaucoup plu.
La psychologie des personnages est bien travaillée et quelques lignes suffisent pour cerner les protagonistes sans que cela tombe dans la caricature. Les personnages ne sont pas parfaits, ils sont juste humains.
Les chapitres relativement court donnent du rythme à l'histoire et rendent la lecture agréable. Les indices sont savamment disséminés tout au long du récit,le tout accompagné de deux ou trois rebondissements qui nous font douter de nos propres déductions jusqu'à la révélation finale qui pour ma part ne faisait pas partie de mes hypothèses.
Ce fut un vrai plaisir de lecture, je trouve que les polars scandinaves ont une atmosphère bien à eux qui nous entraîne directement en plein cœur de l'histoire.
J'ai d'ores et déjà ajouté la série des Varg Veum dans ma PAL.
Le roman débute par un cambriolage dans une bijouterie, totalement mis en scène, mais particulièrement violent. Puis arrive le détective privé, typé comme on aime ce genre de personnage : Varg Veum, dépressif, grognon mais terriblement efficace quand il mène l'enquête. Voilà d'ailleurs trois ans qu'il a perdu sa petite amie, Karin, ce qui explique la spirale autodestructrice dans laquelle il s'est plongé. Sa vie, tant perso que professionnelle est triste et dépressive et ses ingrédients typique du détective de légende sont à retrouver entre chaque enquête et roman.Très vite, le roman devient un « page Turner » car des liens seraient possible entre la disparition d'un enfant, survenue voilà 25 ans, et ce crime. D’autant plus qu’aider Maja Misvær, la mère en deuil dont la fille a disparu sans laisser de traces en 1977 permet au détective de 59 ans de retrouver de l'allant en alliant motivation personnelle et professionnelle.
Mais la mission semble impossible : En effet, en mars 2012, Mette Misvær avait trois ans quand elle jouait dans le bac à sable parental, et subitement à disparue. Depuis l’affaire est restée en suspens et le temps à coulé.
Nous suivons Varg Veum dans son investigation. Et à force de creuser dans les histoires du voisinage, Veum aboutit à un ensemble de mensonges, de secrets et d'événements brutaux, qui ont été suspicieusement et méticuleusement dissimulés. Révélations après découvertes, les fils apparaissent avec méthode et régularité. Le passé est remué et avec toute la poussière et accompagné du regard cynique et de l’humour caustique de ce détective dans toute sa superbe.
Gunnar Staalesen propose ici un polar nordique tel que le public en raffole : glacial, froid, calculateur et à la logique finalement imparable. L'écriture est ténue et frappante sans jouer sur des ressorts émotionnels de manière débridée. La lecture s’achève avec une envie folle de poursuivre ce destin de détective. Tous les ingrédients de passion du polar sont présents. Une très belle #explolecture du Polar dans tous les charmes du Polar Nordique.
C'est ma première rencontre avec Varg Veum, le privé norvégien. Et je dirais bien il était temps !
Veum est engagé par une mère dont la petit fille a disparu 25 ans plus tôt , volatilisée dans son bac à sable ... La prescription du crime est proche et cette mère lance un dernier appel pour tenter de découvrir ce qu'il s'est passé ce jour de 1977.
Le privé reprend donc l'enquête et entreprend d'interroger toutes les personnes liées à cette affaire. Les gens ont pour la plupart quitté le quartier, et c'est à Veum de les retrouver et de raviver leurs souvenirs.
J'ai beaucoup aimé ce livre, tout d'abord parce que le privé m'a immédiatement été sympathique, que ce soit dans sa détresse personnelle ou dans sa façon d'aborder les témoins et potentiels suspects. Ensuite on est plongé dans l'enquête, les langues se déliant doucement, laissant apparaitre de nouveaux éléments. Chacun a appris à vivre avec ses secrets, mais certains sont bien trop lourds à porter.
On a besoin d'en savoir plus, on est happé par le passé. Ce livre est difficile à lâcher !
Ce fût vraiment une belle rencontre !
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