Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
On écrit contre la mort, toujours.
Même dans l'hypothèse où l'on remplit des pages avec elle, en sa compagnie, entre sourire léger et grincements de dents, comme le fait ici Daniel Collin, c'est elle qui mène le bal. Toute existence se joue sur le principe de la danse macabre et selon son ordre. Les mots griffonnés pour soi ou destinés aux autres se proposent secrètement de reculer le rendez-vous, de prendre date au plus tard et d'attendre pour voir.
Avant de mourir, on tue le temps. En compagnie des morts, de ses morts, on se sent plus que jamais vivant, certes. Mais parfois avec le désir de ressusciter les disparus, parfois avec celui de trépasser à son tour pour s'en aller les rejoindre. Le livre vaut conversation avec eux échange entre soi et soi, puis pari sur l'éternité - qui dure longtemps. Ecrire, c'est prouver à soi et aux autres qu'il existe une vie avant la mort - et qu'à défaut cela seul importe.
Michel Onfray.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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