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Novembre blanc

Couverture du livre « Novembre blanc » de Petroff Roman aux éditions L'ancre De Marine
Résumé:

Comme inexistant par son auteur. Il aura fallu les patientes recherches de son traducteur, le père Jean Ribertaud, s.j, pour parvenir à reconstituer un livre embarrassant dont on en connaissait que des fragments disséminés à travers le monde.
Un cahier a été découvert, récemment, dans la... Voir plus

Comme inexistant par son auteur. Il aura fallu les patientes recherches de son traducteur, le père Jean Ribertaud, s.j, pour parvenir à reconstituer un livre embarrassant dont on en connaissait que des fragments disséminés à travers le monde.
Un cahier a été découvert, récemment, dans la doublure d'un transfuge russe revenant d'Israël ! Nous sommes donc particulièrement heureux d'offrir au public français la première version intégrale de ce classique de la littérature alternative, dans la version remarquable de sont traducteur, qui est parvenu dans un français souple à rendre toutes les nuances du texte original. Résumer "Novembre blanc" s'avère une gageure, compte tenu de la matière complexe de son intrigue, qui lève un voile sur un des aspects les plus extraordinaires et les plus méconnus, de la fin du régime tsariste ; ainsi que sur les conceptions révolutionnaires de l'Etat-major de la Marine de Nicolas II.

Outre les révélations concernant l'histoire navale secrète de la Russie, on reste confondu par la capacité de son auteur à décrire, du fin fond de la région où il fut relégué de nombreuses années, une France imaginaire, la Côte d'Azur pour être plus précis, et la condition des émigrés russes qui y trouvèrent refuge à partir des années 1920. A travers les destins d'un quatuor de personnages, dont les caractères renouent avec ceux de la grande tradition romanesque russe du 19e siècle, l'auteur nous emporte dans une fresque haletante dont l'humour n'est pas absent, sans nuire pour autant à l'évocation de questions plus sérieuses liées aux destins des êtres confrontés à la violence, l'exil, la création et la mort.

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