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Janvier 1999. Stanley Karagiannis, philosophe de renom, a fait une chute dans l'escalier des toilettes d'un bar parisien et vient de mourir. Tout en s'interrogeant sur l'existence secrète d'un dernier manuscrit, l'un de ses amis et disciples - le narrateur - enquête sur cette mort apparemment accidentelle. Grâce à la rencontre des êtres qui ont aimé ou côtoyé Stanley dans le passé, il dessine par touches le visage énigmatique de l'ami perdu, en même temps qu'il rassemble peu à peu les feuillets du grand ouvrage resté inachevé.
Une existence tragique se révèle, qui devient le miroir de cette seconde moitié du XXe siècle dont le "héros" a été l'acteur, le témoin, peut-être la victime... En manière de roman policier philosophique, "Mort d'un philosophe" est aussi une méditation sur le pouvoir réel de la philosophie, sur l'abîme qui sépare la vie et la pensée, sur la vérité de l'amour et de l'amitié, et plus profondément sur la présence insondable du mal.
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