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Moi, leon, fils de l'empereur

Couverture du livre « Moi, leon, fils de l'empereur » de Bricard-Glaunes I. aux éditions Albin Michel
Résumé:

"Tel père, tel fils !" Jamais destinée n'a plus radicalement démenti le proverbe que l'incroyable existence du comte Léon, authentique bâtard de Napoléon Ier, qui lui donna la moitié de son nom.
Sa vie commence par un coup de théâtre : en venant au monde, il prouve à l'Empereur qu'il n'est pas... Voir plus

"Tel père, tel fils !" Jamais destinée n'a plus radicalement démenti le proverbe que l'incroyable existence du comte Léon, authentique bâtard de Napoléon Ier, qui lui donna la moitié de son nom.
Sa vie commence par un coup de théâtre : en venant au monde, il prouve à l'Empereur qu'il n'est pas stérile, révélation qui va remettre en question toute la politique impériale...
Mais le comte Léon n'a pas fini d'étonner.
Les bêtises de l'enfant mal aimé de sa mère, les excentricités du dandy couvert de femmes et de dettes, les innombrables duels - dont un, mortel, le conduit aux Assises, et un autre, avec son cousin le futur Napoléon III, fait naître des accusations très graves -, la prison pour dettes, la candidature aux élections présidentielles de 1848 sont les jalons d'une lente descente aux enfers qui, en soixante-quatorze ans, mène le comte Léon des marches du trône à la fosse commune de Pontoise.
Avec lui, c'est tout le XIXe siècle qui revit.
Le comte Léon a côtoyé tous les milieux, de la cour impériale aux bas-fonds, tenté toutes les carrières, de la politique aux affaires, en passant par la garde nationale, la philanthropie et l'illuminisme, et connu toutes les vicissitudes et toutes les désillusions.
Avec brio et un humour malicieux, Isabelle Bricard lui prête sa plume, en s'appuyant sur d'authentiques sources historiques, relayées par la fiction romanesque.
Elle a déjà publié aux éditions Albin Michel une étude sur l'éducation des jeunes filles au XIXe siècle, Saintes ou pouliches.

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