Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Main sans jambes ; dressage du cheval de selle

Couverture du livre « Main sans jambes ; dressage du cheval de selle » de Etienne Breudant aux éditions Jean-michel Place Editeur
Résumé:

Officier de cavalerie, issu de l'école de Saumur, Etienne Beudant fit une grande partie de sa carrière dans des régiments de cavalerie en Afrique du nord.

C'est à travers l'enseignement du général Faverot de Kerbrech que Beudant fut initié au bauchérisme dit de la deuxième manière. Fidèle à... Voir plus

Officier de cavalerie, issu de l'école de Saumur, Etienne Beudant fit une grande partie de sa carrière dans des régiments de cavalerie en Afrique du nord.

C'est à travers l'enseignement du général Faverot de Kerbrech que Beudant fut initié au bauchérisme dit de la deuxième manière. Fidèle à l'incroyable Maître dont il a possédé sans défaillance la méthode simple et logique, il réussira à obtenir de merveilleux résultats avec tous ses chevaux à l'extérieur comme en haute école. Son Suvre témoigne de cette recherche de perfection idéale : la légèreté, si particulière à l'École française.

Dressage du cheval de selle (1929, troisième édition revue de 1948) se présente comme un mémento rédigé en vue d'une mise en pratique. Beudant y indique pas à pas et sans commentaire les moyens les plus faciles de tendre vers la perfection en équitation usuelle, puis en équitation savante et de fantaisie.

Dans Main sans jambes, Beudant analyse le dressage méthodique selon les derniers enseignements de Baucher, dans une forme simple et vivante, il ne s'agit pas ici de manuel ou de précis d'équitation ; j'expose familièrement ce que je crois juste. Identifiant la légèreté à la décontraction de la bouche il développe le principe de non-opposition des aides impulsives à la main. Beudant s'inscrit ainsi dans l'histoire de l'École classique et tout particulièrement du bauchérisme qui fut pourtant si décrié par les maîtres de l'ancienne École française.

Donner votre avis