Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
A cinq ans, Roland ne marche toujours pas. Il vit dans un HLM du XIIIe arrondissement de Paris avec sa famille juive séfarade d'origine marocaine. Un appartement plein de vie d'où Roland ne peut sortir, si ce n'est dans les bras de sa mère. La religion et la culture juives tiennent dans sa vie une place primordiale. Très croyante et surprotectrice, elle le garde à l'écart du monde extérieur.
L'appartement est devenu son territoire, d'où il observe avec fascination les va-et-vient de ses frères et soeurs et de leurs amis. Mais c'est en regardant la télévision qu'il découvre le monde. Il se passionne pour les émissions de variétés et pour Sylvie Vartan, « étoile parmi les étoiles ».
Un jour, alors qu'il a six ans, un miracle se produit : il réussit enfin à marcher.
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un roman tendre et loufoque, aux personnage drôles et attachants. Une histoire vraie, lumineuse et pleine d'espoir.
N’ayant pas la télé, je ne connaissais pas du tout Roland Perez avant la sortie aux Escales de son deuxième livre, « Ma mère, Dieu et Litzie ». J’en ai profité pour également découvrir son premier, « Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan », en cours d’adaptation au cinéma avec Jonathan Cohen et Leila Bekhti.
Les deux livres sont complémentaires – Litzie est l’épouse de Roland Perez et mère de ses trois enfants, décédée tragiquement dans la fleur de l’âge, d’un cancer de la peau, à laquelle il rend un hommage touchant. Le premier est consacré à l’autre femme de sa vie – enfin l’une des deux autres, si l’on compte Sylvie Vartan sur le podium.
« Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan » est une véritable lecture plaisir. Le petit Roland nait en 1963 dans une famille juive d’origine marocaine, sixième enfant de la fratrie qui vit modestement dans un HLM du XIIIe arrondissement. Petite particularité : un pied bot qui l’empêche de marcher, et que les médecins estiment inopérable. C’est sans compter la volonté de fer de sa truculente mère, Esther, qui finit par dénicher le rebouteux – ou plutôt la veuve du rebouteux – qui va remettre d’aplomb le petit Roland, au prix d’une immobilisation de 18 mois, pendant laquelle Sylvie Vartan joue un rôle prépondérant, ses chansons distrayant le petit alité mais l’aidant aussi à apprendre à lire.
Esther est une femme chaleureuse, coquette, dynamique, qui parle un peu fort, mais l’humour et l’amour sont ses trésors. Autour d’elle et de la quantité de nourriture qu’elle prépare inlassablement, gravitent son mari et ses six enfants mais aussi toute une bande de copines voisines.
Avec beaucoup de travail, de la chance mais aussi les prières, tout devient possible et la famille va sortir de la pauvreté pour vivre une vie beaucoup plus confortable, Roland va devenir avocat, passer à la télé et la radio, côtoyer un certain nombre de stars qui vont devenir des clients et amis, dont la fameuse Sylvie Vartan mais les valeurs vont rester – solidarité, partage, optimisme, sens de l’amitié …ce qui transparaît aussi également dans « Ma mère, Dieu et Litzie », où malgré le sujet grave, règne une présence lumineuse et positive.
Une ode aux femmes, à la famille, à la vie !
Roland est né avec un pied bot.
Il ne peut pas marcher.
Mais c'est sans compter sur Esther, sa maman, qui, avec l'aide de Dieu, va remuer ciel et terre pour trouver le médecin qui sauvera son fils.
Et c'est la femme d'un rebouteux décédé qui va, après dix-huit mois d'immobilisation ; y parvenir.
Pendant ces dix-huit mois, Sylvie Vartan va accompagner quotidiennement le petit Roland, et c'est même avec les textes de ses chansons que ses frères lui apprendront à lire.
Voilà un roman autobiographique émouvant et touchant.
C'est d'abord un hommage plein d'amour à sa mère qui sa vie durant, avec ses excès et son extravagance a défendu bec et ongles ses six enfants.
Et grâce à sa mère, son énergie et ses prières, grâce à Sylvie Vartan, Roland grandira et deviendra avocat, et comble du bonheur, il deviendra même l'avocat de Sylvie Vartan.
Sortant de lire l'autobiographie de Raphaël Enthoven, je ne peux m'empêcher de faire la comparaison.
Le milieu intellectuel gauche-caviar du premier ne semble pas en avoir fait un homme heureux, et son livre tient du règlement de compte.
Le milieu modeste HLM, amour, entraide du second, .semble en avoir fait un homme épanoui, accompli, et son livre est un témoignage d'amour à sa famille et à son milieu .
J'ai adoré la vie chaleureuse de cet immeuble du XIIIème
J'ai apprécié la modestie et la discrétion de l'auteur.
Un bien beau livre sincère et chaleureux.
Comme un garçon j'ai les cheveux longs
Comme un garçon je porte un blouson
Un médaillon, un gros ceinturon
Comme un garçon... Combien de fois le petit Roland Perez a écouté et fredonné lui aussi cette célèbre chanson de Sylvie Vartan, chanteuse qui l'a accompagné tout au long de son enfance. Né avec les pieds bots, c'est un peu grâce à Sylvie s'il arrive à marcher normalement aujourd'hui alors que les médecins considéraient que son cas était incurable. C'est sans compter sur la persévérance de sa mère Esther, une maman juive d'origine marocaine de six enfants qui en plus d'être une excellente cuisinière aurait pu faire carrière sur les planches.
Dans cette autobiographie romancée, Roland Perez, avocat et célèbre animateur radio nous offre (pour notre plus grand plaisir) avec beaucoup d'humour des anecdotes qui ont ponctué sa vie. La lecture de cet ouvrage lumineux et plein de vie, nous rappelle que derrière chaque homme se trouve une mère qui ici est un vrai tourbillon de bienveillance et à laquelle on ne peut que s'attacher...
Je tiens à remercier les Éditions Les Escales, Roland Perez et Netgalley pour la découverte de Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan qui m'a fait souvent rire et qui m'a parfois donné l'impression que ma vie manquait un peu de saveur tellement celle de Roland Perez est hors du commun...
#Netgalleyfrance
roland est né avec un handicap au pied, les médecins disent qu il ne pourra pas marcher, mais sa mere en a decidé autrement
avec beaucoup de foi, cette maman juive hyper présente entoure son petit garçon d un amour débordant et elle croit au miracle
on suit roland petit garcon dans son quotidien dans sa famille , d aurre part on entend la voix de roland d aujourd hui , devenu avocat . Et sylvie vartan dans tout cela ? et bien il se trouve que le petit roland dans les annees 1970 s est pris de passionn pour cette jeune chanteuse et cette passion l a idé a guerir
un roman aux personnages particuliérement attachants. une histoire souvent drole, toujours tendre et tres émouvant ( coup de coeur 2021)
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...