Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
On lui conseillait de faire de l'abstrait. Il préférait rester un peintre figuratif. Luc HO ne fait pas que susciter des impressions, des émotions. Il peint des corps noueux ou érotiques, des paysages avec une dextérité remarquable. Mais pour arriver à ces représentations, il faut enjamber un écusson murakamien, se glisser derrière un paravent carré, escalader des équerres et des murets, se faufiler dans l'entrée d'un tunnel pour rejoindre, avec un peu de chance, les personnages dont l'artiste nous raconte l'histoire qui lui a été inspirée par un peintre ou un écrivain. Parfois, c'est en faisant coulisser par l'imaginaire un écran géométrique l'on peut s'éloigner sur un chemin pour aller contempler d'immenses fleurs déjà à l'automne de leur vie. Sa peinture est aussi un jeu de cache-cache. Il faut aller chercher derrière les formes le sujet plus intime, plus douloureux. Michèle Wolff (2019 - 2022).
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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