Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
" le pardon est mort dans les camps de la mort.
" qui a bien pu écrire une telle phrase ? un philosophe, un juif, un français, un moraliste ? oui, mais surtout un survivant, un survivant mystérieusement sommé de protester sans relâche contre l'indifférence. sous le titre l'imprescriptible, se trouvent en effet réunis deux textes : pardonner ? et dans l'honneur et la dignité, parus respectivement en 1971 et 1948, qui tentent de maintenir " jusqu'à la fin du monde " le deuil de toutes les victimes du nazisme, déportés ou résistants.
On pourrait facilement justifier cette réédition en relevant dans l'actualité les signes multiples qui indiquent la défaillance de la mémoire et de l'histoire, mais ce serait trahir le caractère intempestif et métaphysique de ce qu'écrit ici jankélévitch.
Le philosophe de l'occasion n'a jamais cru bon d'attendre l'occasion d'exprimer sa colère et sa pitié. c'était toujours pour lui le moment de rappeler que la mémoire de l'horreur constitue une obligation morale.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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