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Une après-midi père-fils à la patinoire.
Une vieille femme s'approche.
« Monsieur Liebman ? C'est dommage que vous ne soyez pas mort à Auschwitz. »
Monsieur Liebman est un juif, mais un juif un peu... spécial, « un renégat à la solde des arabes », disent certains. Brillant intellectuel, professeur de renom à l'ULB et à la VUB, militant marxiste prêt à toutes les révolutions, le père d'Henri, dit Riton, est solidaire d'un peuple palestinien dessaisi de ses terres. Difficile de grandir dans son ombre ! À travers le portrait du père, Riton le terrible retraverse les grandes luttes qui ont marqué son époque. Au-delà d'un portrait, les souvenirs de Riton nous ramènent à un certain militantisme, au respect de ceux qui marchent à contre-courant... Sans oublier l'importante question de la filiation : comment parvenir à se construire en tant que fils quand l'image du père est si prégnante ? D'anecdotes en moments de grâce, Henri Liebman nous interpelle avec audace et humour à travers un récit orchestré par David Murgia et mis en musique par Philippe Orivel.
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