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Lyon, nuit du 24 mai 1968. Sur le pont Lafayette, enjambant le Rhône, un camion de chantier, accélérateur coincé par un gros caillou, est lancé par les manifestants en direction des CRS.
L'engin s'écrase en bout de course contre un lampadaire. Le préfet annonce aussitôt qu'un commissaire de police, René Lacroix, est mort, écrasé par ce camion fou.
L'affaire, après l'intervention du préfet, puis celle de Georges Pompidou, prend aussitôt un tour politique. Il s'agit du seul mort présumé de mai 68, côté police.
Cette nuit là, l'auteur se trouvait sur les lieux. Il a aussi assisté, deux ans plus tard, au procès de Michel Raton, un "trimard" accusé d'être l'instigateur principal de cet acte violent.
Des années plus tard, il a enquêté auprès des témoins, compulsé les archives de police et celles du procès, supputant les différentes hypothèses, dont celle, rocambolesque, d'une substitution de corps à la morgue.
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