Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
L'homme de l'humour, ce serait Socrate s'il avait été beau, saint Martin s'il avait donné la moitié non de son manteau mais de sa peau, la Joconde si elle avait vraiment porté la moustache, Descartes s'il n'avait pas inventé le cogito mais la nitroglycérine, Glenn Gould si après une fausse note il s'était coupé une main en direct à la télévision. Si l'humour était possible, ce serait la plus belle attitude humaine, plus belle encore que la sagesse, l'héroïsme ou la sainteté. Il suffirait, dans le même temps, d'adhérer absolument au monde et de s'en éloigner vertigineusement, jusqu'à presque mourir. Et de laisser jaillir, effet ou cause de cet écartèlement, l'étincelle d'un rire froid, à la fois positif et négatif. Dommage que ce soit impossible. Jacques Vaché avait retiré son «h» à «umour», Noguez lui retire ses cinq dernières lettres.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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