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L'utilisation d'une langue commune en France, en Belgique et en Suisse, peut être mise en relation avec certaines orientations diplomatiques similaires de ces pays à l'égard de l'Europe centrale, pendant les années qui ont suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale. Un bon exemple en est fourni par la Hongrie, pour qui ces trois États représentaient, de différentes manières, une voie intermédiaire entre les deux blocs. Pour les pays francophones de l'Europe, la Hongrie était vue, jusqu'en 1947, comme un maillon faible de la sphère soviétique, puis comme un terrain d'essai pour Moscou, mais avec qui ils pouvaient entretenir des relations relativement correctes, en comparaison des pays voisins. Cette étude, basée essentiellement sur des recherches dans les fonds d'archives, apporte un nouvel éclairage sur l'histoire récente des rapports internationaux en Europe. Elle y souligne l'importance des réseaux personnels créés grâce à l'usage d'une langue commune.
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