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Bosch et Ballard ensemble pour que justice soit faite Après avoir quitté le LAPD rongé par la misogynie, le défaitisme et la bureaucratie, Renée Ballard revient prendre la direction de l'unité des Affaires non résolues récemment reformée. Elle y recrute des stars de la police et demande à Harry Bosch, maintenant à la retraite, de l'aider à résoudre l'affaire de deux jeunes femmes tuées de la même façon à dix ans d'intervalle.
Bosch ne saurait refuser : avec toutes les ressources du LAPD, peut-être pourra-t-il en profiter pour arrêter le psychopathe qui a abattu toute une famille dans le désert de Mojave et n'a jamais été retrouvé.
S'il respecte Ballard, Bosch supporte mal son autorité et cela risque de nuire à leur travail. Et les tueurs, eux, n'entendent pas se laisser prendre après toutes ces années d'impunité.
D'autant que pour Ballard, et surtout pour Bosch, le temps presse...
« Le maître du roman policier contemporain » Daily Express
Dernier opus réunissant Ballard et Bosch, une plume toujours fluide, convaincante, auprès du duo attachant, tenace, le rythme de l'intrigue est soutenu. On est tenu en haleine dès le départ, mais Ballard a perdu de sont mordant et de son indépendance au fil du temps.
"Silence. Ballard regarda autour d'elle, suivit des yeux la ligne de crête et les plaines salées, puis revint sur les fleurs à ses pieds.
- Il est si facile d'oublier qu'il est de grandes beautés dans le désert, dit-elle.
Bosch acquiesça."
"Arrivé au bout de l’allée, il fit demi-tour et enfila la suivante, elle aussi pleine de dossiers d’affaires non résolues. Un vasistas laissait filtrer le soleil de l’après-midi, cette lumière naturelle éclairant des morts qui ne l’étaient pas. Il s’arrêta un instant, puis s’immobilisa. Seul régnait le silence dans la bibliothèque des âmes perdues."
Distrayant polar, sans plus.
N’ayant plus approché Michael Connelly depuis des lustres, je me suis dit pourquoi ne pas accepter le prêt proposé par un ami et zieuter cette dernière enquête d’Harry Bosch, son tome 24.
Rien de neuf à l’horizon. Michael Connelly est pareil à ses débuts. Son histoire tient la route, on passe un bon moment, on apprend quelques petits trucs sur la criminologie ; bref pas de franche déception mais pas non plus un emballement pour son dernier roman policier.
Dans cet opus, Harry Bosch s’est déjà éloigné du monde de la police depuis plusieurs années et commence à s’adapter à sa nouvelle vie de retraité.
Mais lorsque Renée Ballard, une ancienne connaissance croisée lors d’une précédente affaire, le contacte et lui demande de faire partie de la nouvelle équipe qu’elle vient de créer, il sent son adrénaline lui conseiller d’y aller. L’équipe reprend d’anciens dossiers d’affaires non résolues, le tout sous la houlette d’un politique local Jake Pearlman. Ce dernier leur demande, au-delà des nombreux dossiers à éplucher, de résoudre l’énigme de l’assassinat de sa soeur Sarah : assassinat qui a eu lieu il y a quelques années.
Harry Bosch sera effectivement d’une grande aide à cette équipe composée de quelques jeunes recrues et avancera progressivement au milieu de tueurs qui ne vont pas se laisser attraper si facilement après tant d’années d’impunités. Les sangs s’échauffent dans l’équipe, Ballard et Bosch joue à celui qui aura la plus forte tête, mais il faut que justice soit faite.
Les personnages sont attachants et plein d’humanité. Le livre peut convenir à tout public.
Mais pour ma part je n’ai pas été particulièrement attirée pas l’intrigue ni trouvé la fin une réussite.
Un tome 26 ! Et j’avoue que je n’ai absolument pas lu les précédents.
Heureusement, ce n’est pas trop gênant pour l’enquête !
Mais j’imagine que je suis passée à côté d'éléments sur les relations et l’évolution des personnages.
On va suivre notre enquêteur Bosch, qui revient sur une enquête qu’il n’a pas réussi à résoudre.
Un meurtre sordide, où toute une famille à été retrouvé (morte évidemment) dans le désert.
On comprend que ça ait pu le hanter !
En parallèle, on suit également une deuxième enquête.
L’histoire est efficace et le rythme est soutenu.
J’ai pris du plaisir à suivre cette histoire.
Par contre, c’est aussi un livre audio qui me fait penser que je vais garder les polars et thrillers pour des lectures papier.
J’aime ce type de lecture, mais en audio, j’ai vraiment la sensation de passer à côté de certains éléments et du coup je savoure moins ma lecture.
Depuis que j'ai découvert les livres audio, Michael Connelly fait partie des auteurs dont j'attends avec impatience la sortie de nouveaux romans sous ce format car je sais que je passerai forcément un bon moment d'écoute. Cette fois encore, il n'y a pas eu d'exception à cette règle et j'ai été contente de retrouver la voix grave de Jacques Chaussepied pour interpréter le personnage emblématique d'Harry Bosch.
Comme c'est souvent le cas avec Michael Connelly, c'est avec une grande facilité que je me suis plongée dans le récit alors même que je n'ai pas lu tous les livres de cette série. L'auteur recontextualise toujours très bien ses histoires et donc je n'ai jamais l'impression d'être perdue en découvrant ses récits. Dans "l'étoile du désert" qui pour l'anecdote fait référence à une fleur que l'on trouve dans des zones arides, l'inspectrice Renée Ballard va recontacter Harry Bosch maintenant retraité pour lui proposer un poste au sein de l'unité des affaires non résolues. En reprenant du service, le vieux flic espère bien pouvoir en profiter pour retravailler sur une affaire qui ne l'a pas lâché depuis plus d'une décennie et qui rappellera sûrement des souvenirs à certains.
J'ai apprécié cette écoute que Jacques Chaussepied a su rendre assez vivante et dont la voix correspondait complètement à la représentation que je me fais d'Harry Bosch.
Concernant l'histoire, j'ai parfois trouvé que certaines explications étaient un peu tirées par les cheveux, mais cette impression ne m'a pas dérangée, car l'auteur trouve toujours le moyen de nous proposer de bons rebondissements qui se révèlent fonctionner à merveille.
Je tiens à remercier les Éditions Audiolib et Netgalley France pour ce bon moment d'écoute qui est facilement accessible pour des lecteurs qui souhaitent découvrir la plume de Michael Connelly.
Rédiger une chronique sur un roman de Michaël Connelly n’est pas une chose facile pour moi. La tentation est grande de seulement écrire « Génial, comme d’habitude ! ». En effet, à chaque nouvel épisode, j’ai l’impression de me répéter. Mais comme je me dois de jouer mon rôle de conseiller, je vais encore essayer de recruter de nouveaux adeptes.
Depuis plusieurs opus, l’auteur est en train d’entamer un virage important avec le passage de flambeau entre Renée Ballard et Harry Bosch. Son vieil héros arrive en bout de course et la jeune inspectrice semble toute désignée pour lui succéder. Pour l’instant, les deux personnages font encore équipe mais cet épisode semble nous rapprocher de l’inéluctable départ.
Pour mes lectures polars, j’aime le glauque, le rythmé, le stressant, mais j’aime aussi les histoires plus simples qui me plongent dans le monde réel. Et c’est là qu’intervient Michaël Connelly avec tout son savoir-faire. Sa maîtrise des milieux criminels, policiers et journalistiques lui permettent de nous offrir une aventure aussi crédible que passionnante. Sans trop pousser les curseurs, il arrive à créer un scénario bien huilé qui se révèle être très efficace.
L’authenticité des protagonistes, de leur quotidien et des affaires rendent ces enquêtes accessibles à tout le monde. Aucune scène n’est inutile, c’est du travail d’orfèvre ! Emporté par une narration maîtrisée, j’ai pris un grand plaisir à retrouver notre inspecteur indomptable, auquel je me suis beaucoup attaché au fil des aventures. Toujours aussi impliqué, il donne encore de sa personne pour faire régner une certaine justice.
Michaël Connelly est un maître du roman policier américain et « L’étoile du désert » est une nouvelle pierre à son édifice. Si vous êtes en quête d’une intrigue policière vraisemblable et captivante, n’hésitez pas à venir faire un tour à Los Angeles !
https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/09/28/881-michael-connelly-letoile-du-desert/
L’étoile du désert de Michael Connelly s’ouvre sur Harry Bosch prêt à prendre des comprimés pour en finir avec sa vie ! Étonnamment ! Incrédulité ! Un an qu’il s’est fâché avec Ballard et du coup, même plus de jazz dans sa maison !
Mais, comment va-t-on faire, même si toi, Hieronymus, tu te fais la malle ! Car, vraiment, Michael Connelly par deux fois dans L’étoile du désert nous place dans un stade de prédépression littéraire !
Heureusement, la sonnette retentit ! Et le plus grand flic du LAPD redevient le héros qu’on aime tant retrouver !
Renée Ballard est à la direction des affaires non résolues. Seule titulaire, elle peut engager des réservistes, des volontaires et des contractuels. Pour être réserviste, Harry ne passerait pas le premier test. Mais contractuel ou volontaire, pourquoi pas !
La famille Gallagher liquidée en 2013 par McShane est la seule affaire en cours qu’Harry détestait n’avoir pas pu clôturer en arrêtant le coupable. René lui propose de la reprendre.
Connaissez-vous la fleur de l’étoile du désert de Mojave, aux pétales blancs et cœur jaune ?
Et, bien, après ce vingt sept tome, le site sacré où elle pousse recevra la quiétude qu’il faut aux morts, notamment pour les deux enfants qui l’ont rencontré avant qu’elle ne les cueille.
Ahmanson Center est le nouvel endroit où ils travaillent. Le meurtre non élucidé de Sarah, la sœur du conseiller qui s’est battu pour ouvrir cette nouvelle unité de recherches, est la priorité de Ballard.
L’étoile du désert mélange, comme on l’aime, les intérêts politiques et ceux de la résolution des enquêtes. Ballard devient chef, mais Harry est toujours ingérable, même pour son amie.
Michael Connelly semble préparer son lecteur à la disparition littéraire de son héros. Pourtant, Harry Bosch reste un flic de polar terriblement juteux tant son auteur le maîtrise à merveille dans ses livres mais aussi dans les séries. Est-ce que Ballard a trouvé son incarnation cinématographique ? Et, n’est-ce pas encore elle qui a aussi besoin de lui pour exister ainsi indépendante !
En tout cas, au-dessus du bâtiment, la devise est « Tout le monde compte, ou personne. » L’intrigue est toujours aussi bien menée. Les personnages vieillissent avec nous et vraiment, moi j’aime !
Suite de la chronique illustrée ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2023/09/25/michael-connelly-letoile/
Sous l'impulsion du conseiller municipal Jake Pearlman, l'unité des Affaires non résolues est ressuscitée et l'inspectrice Renée Ballard en prend la direction. Elle vient naturellement proposer à son vieil ami Harry Bosch, retraité du LAPD, de reprendre bénévolement du service.
Bosch a une relation particulière avec ces livres de meurtres non élucidés. Cette bibliothèque des âmes perdues le touche, lui pour qui "tout le monde compte ou personne ne compte". Ballard le plonge dans le meutre non élucidé de la propre sœur du conseiller, Sarah Pearlman, même si Bosch préfère se consacrer à une affaire qui le hante encore, la tuerie de la famille Gallagher, brûlée dans le désert de Mojave.
J'ai littéralement dévoré le nouvel opus de Connelly, le 27ème de la série Bosch entamée en 1992 ! J'y ai retrouvé l'enquêteur que j'aime, entêté et courageux, râleur et décidé à rattraper le temps perdu dans une urgence que l'on ressent dès la première ligne. Cela faisait quelques tomes que je n'avais pas été touché à ce point par ce personnage et c'est un bonheur émouvant de le retrouver paradoxalement si vivant, lui qui est un vieux retraité rouillé à la santé précaire.
Je m'échine depuis longtemps maintenant à dire combien cette série est d'un niveau très élevé. Je place 'L'étoile du désert" parmi les meilleurs titres des aventures d'Harry Bosch... N'hésite pas à découvrir la série par ce titre, ça te donnera inévitablement envie de découvrir le passé de ce personnage hors du commun.
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"Distrayant polar, mais sans plus" . J'apprécie infiniment ce type de chronique où on sait tout de suite où on va. Merci :- )