Des idées de lecture pour ce début d'année !
Henri Guibal est né le 30 octobre 1947 à Aix-en-Provence où il fera ses études à l'école des Beaux Arts. C'est dans l'atelier de Jean Claude Imbert et celui de Vincent Bioulès que va se révéler sa vocation pour la peinture. Son travail est défendu par plusieurs galeries en France et à l'étranger. Il découvre à l'atelier Pasnic à Paris, la gravure au « carborundum » chez qui il rencontre l'éditeur Jacques Boulan avec qui il travaillera pendant plus de vingt ans et qui le présente, entre autres, à la FIAC, Art Paris, Tempera Madrid... Des collections publiques et privées possèdent ses peintures.
Henri Guibal à enseigné le dessin et la peinture principalement à l'école supérieure d'art Clermont Métropole. Il fait partie du collectif de graveurs « le chant de l'encre », et initie ponctuellement, de jeunes créateurs à la lithographie au sein du musée de la lithographie de Saint Pourçain sur Sioule dans l'Allier. L'écrivain Patrick Mialon dit de lui dans Le corps enchanté de la peinture. Paysages et figures dans l'oeuvre d' Henri Guibal : « Henri Guibal a toujours habité la peinture ou, si l'on préfère, la peinture l'a toujours habité. Dans une époque chancelante sur ses certitudes, souvent oublieuse de son histoire et où la carte des équilibres du monde, des nations, des provinces est en voie de recomposition radicale, ce peintre, loin du désenchantement et de la désespérance, a toujours su que la peinture était, s'il ne devait en rester qu'une, son ultime terre d'accueil ».
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."