Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Poète, nouvelliste, critique, collaborateur permanent des Hommes sans Épaules, Jacques Taurand (1936-2008), qui fut également du comité de rédaction de la revue Le Cri d'os, a toujours fui « la poésie intellectuelle, tout ce qui est fabriqué par l'esprit seul et sec. Celle des fameux abstracteurs de quintessence » ; point d'obligation d'écriture, non plus, chez lui. Le poète s'est toujours refusé à « écrire pour écrire », à fabriquer des poèmes, et donc à fausser la donne en forçant l'inspiration.
Pour Jacques Taurand, le poème dérive forcément d'une émotion, comme il l'a écrit lui-même : « Le travail consiste, à mes yeux, à tailler la Pierre brute de l'Émotion... L'émotion est mouvement de l'âme, aussi le poème s'applique-t-il à éveiller, à capter, à révéler ce mouvement avec lequel il tente de se confondre mais avec lequel aussi il s'enfuit et sombre ». Le poème est toujours en prise immédiate avec la vie, là où les boucles d'un soleil - jouent avec les doigts de l'instant. Le poème donne à voir autant qu'il aide à voir ; donne à vivre, autant qu'il aide à vivre celui qui l'écrit, comme celui qui le lit : Je vous attends - au coin de cette page - nous y parlerons - et dirons la vie.
La présente anthologie, Les étoiles saignent bleu, paraît à l'occasion du dixième anniversaire de la mort du poète, et donne à lire un choix de poèmes de 1980 à 2008, ainsi que des inédits.
Christophe DAUPHIN
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...