Des idées de lecture pour ce début d'année !
La défense sans condition de Canis lupus peut être porteuse d'idées reçues, mais aussi d'effets collatéraux délétères envers un mode d'élevage « paysan », le plus « naturel » et le plus respectueux de l'environnement dans ses pratiques, que dans tout le secteur agricole. La pastoralisme est générateur de biodiversité et à ce titre sa disparition serait écologiquement désastreuse.Le loup quant à lui, « diabolisé » autrefois, serait aujourd'hui « déifié » si bien qu'il a du mal à s'extraire de la sphère à la fois mystique et mythique où il est confiné. Au point qu'il fait l'objet d'une survalorisation écologique par certain de ses partisans. En effet, des scientifiques naturalistes et amis du loup dénoncent des interprétations abusives de son rôle environnemental.Un bilan comparatif entre l'animal sauvage et le pastoralisme, sur leur intérêt écologique, n'apparaît pas en définitive favorable au premier.In fine pour sauvegarder Canis lupus en France, car on ne voit pas pourquoi il serait éradiqué, des pistes scientifiques ne semblent pas faire obstacle au maintien d'un effectif plus faible que celui d'aujourd'hui. Effectif qui ne serait nuisible ni à la conservation du grand prédateur, ni à la biodiversité, et qui permettrait d'alléger la prédation sur les animaux domestiques.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."