Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Il faut envisager cette oeuvre comme la scène d'un opéra où le protagoniste se parlerait à lui-même, devant son reflet dans un miroir. Ce peut être son propre prénom qu'il scande tout au long de l'oeuvre car son double l'interpelle. À défaut, je suggère Ludka pour une femme et Ludwig pour un homme.
Cette courte oeuvre, de caractère très intérieur, joue sur les divers niveaux de lecture du texte de Sylvie Germain qui peut être interprété selon les quatre sens de l'écriture?: littéral, allégorique, moral et anagogique. Ce dernier sens est particulièrement souligné par la musique.
De nombreuses ressources expressives de la voix sont ici sollicitées?: mélodique, parlé-chanté, parlé (déclamé, scandé...), détimbré, souffle...
Une mezzo peut interpréter l'oeuvre en la transposant plus grave. Les crotales devront l'être aussi.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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