"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Serpicon voit de drôles de choses dans la ville. À celui qui fait l'étonné, il répond : «Il suffit de regarder.» ».
Ibidem Serpicon déambule dans les rues de Paris et sa banlieue, prend les bus de la RATP, s'assoit sur les bancs des squares, et rencontre tout un tas de gens étonnants. Avenants ou méfiants, décalés ou malveillants, ils trouvent toujours chez Ibidem une écoute et une générosité sans fond.
Car quand on est aussi peu en phase avec le monde qui nous entoure, il n'y a guère que deux solutions. Prendre un remède pour voir-la-vie-en-imbécile-heureux. Ou réinventer la réalité quotidienne. Avec un humour détonnant, Ibidem réécrit le monde autour de lui, joue avec les mots, fait de sa vie une fiction ou un feuilleton, et lutte contre une voix off qui le houspille.
À mi-chemin entre le M. Hulot de Tati et le M. Plume de Michaux, Ibidem Serpicon nous invite à changer de regard, à happer la poésie à chaque coin de rue, en attrapant au vol le burlesque de l'existence.
Indissociable de son personnage, René Haddad était cet éternel arpenteur, enfant de Paris et poète drôlatique et sensible. Terriblement attachant.
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