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Sur tout le Tapis règne la paix de l'empire dumii. Aux marges de la civilisation, la tribu des Munrungues coule sous les poils une existence paisible. Mais, un jour, un terrible cataclysme frappe à proximité du village munrungue. Une ville dumiie est broyée par I'ancien monstre des légendes : le grand Découdre est de retour ! Dans son sillage, des créatures féroces montées sur des fauves parachèvent son oeuvre de destruction. Cernés, les Munrungues s'engagent dans un grand périple à travers les poils, sous la conduite des frères Orkson. Un voyage qui les conduira à la découverte des merveilles de leur monde. et qui changera pour toujours l'existence de tous les Fils de la poussière.
Au cœur du tapis, bien caché au milieu de la forêt des poils vit une civilisation, sous la forme d’un empire centralisé qui règne (péniblement) sur des clans plus ou moins dociles. Sur un des bords du tapis prospère tranquillement la tribu des Munrungues. Mais un cataclysme divin, venu d‘on-ne-sait-où (« Le Grand Découdre »), ravage la tribu et oblige les rescapés à la fuite à travers le Tapis. L’objectif est Uzure, la capitale où, pensent-ils, ils seront à l’abri. Mais le périple à travers e Tapis est long et dangereux, les autres tribus, les animaux sauvages et même des devins (« les Vivants ») représentent autant de dangers. Et lorsqu’ils arriveront à Uzure, rien ne dit que là non plus, la paix leur sera assurée.
C’est ma première incursion dans l’univers de Terry Pratchett, et plutôt que de me lancer directement dans sa grande saga du Disque-Monde, j’ai préféré commencé par un petit roman indépendant dont la quatrième de couverture est assez prometteuse. Je m’empresse de dire que je ne suis pas du tout une habituée de la Fantasy, c’est un univers qui m’est assez étranger. C’est peut-être pour cela que j’ai eu un peu de mal avec ce petit roman et que j’ai mis un temps fou à la finir. Ce qui m’a plu, c’est l’humour absurde, et en même temps assez subversif très présent dans le roman. Certains dialogues, certaines petites réflexions lâchées ici ou là ne manquent pas de sel. Et puis, essayer de me repérer dans cet immense tapis où les Munrungues rencontrent une allumette oubliée (forcément de la taille d’une muraille), un penny (sur lequel un cité entière a été édifiée), les imaginer s’aventurer au delà du monde connu, sur le parquet, vers l’âtre et même le Pied de Chaise, s’aventurer dans la Trame du Tapis pensant (bien à tort) être à l’abri des ennemis et du Grand Découdre, tous cela est amusant et presque exotique. D’ailleurs, qu’est ce que ce Grand Découdre ? Pour ma part j’imagine que c’est un aspirateur mais c’est peut être autre chose, allez-savoir. Il y a des airs du « Seigneur des Anneaux » dans « Le Peuple du tapis » mais j’imagine que c’est normal, les codes de la Fantasy sont les mêmes pour tout le monde : quelques héros courageux dans un monde hostile, des ennemis sans foi ni loi, des souverains à sauver/renverser, des être différents et supérieurs qui viennent à la rescousse alors que tout parait perdu, etc… Le nombre important de tribus, la géopolitique complexe du Tapis, sa faune improbable et très diverse m’ont parfois un peu perdu en route, je l’avoue. Cette première incursion dans l’univers déjanté de Pratchett m’a laissé une impression mi figue-mi raisin. Je lui reconnais une fantaisie (sans jeu de mot) et un humour décapant assez efficace mais il va me falloir un peu de temps pour me sentir à l’aise dans un monde aussi étrange !
Ce court roman était dans ma PAL depuis environ deux ans, mon amoureux, qui aime beaucoup la fantasy, l'horreur et la science-fiction me l'avait offert à Noël.
J'avais déjà lu deux ou trois volets des fameuses Annales du disque-monde et me rappelle en avoir gardé un assez bon souvenir, notamment de Mortimer, l'assistant de la Mort. Mais là, je dois bien l'avouer, je suis restée totalement à la porte de cet opus, ne me prenant quand même pas les pieds dans le tapis mais pas loin. L'univers est beaucoup trop loufoque pour que je puisse apprécier la lecture. Je ne saurais même pas dire de quoi ça parlait réellement, de grand Découdre qui menace les habitants du tapis, de peuples ennemis-amis-alliés, bref je suis restée totalement hermétique.
J'avoue que je me doutais un peu que cette lecture ne serait pas une lecture-plaisir, Terry Pratchett c'est un peu comme Tolkien et son Seigneur des anneaux dont je n'ai pas réussi à passer les 100 pages. C'est imaginatif à souhait, c'est travaillé, c'est complet, c'est recherché mais ce n'est pas pour moi. Je loue par contre leur écriture et leur esprit, rien à dire là-dessus. Terry Pratchett possède en prime cet humour so British que j'aime beaucoup, j'ai souri à plusieurs occasions, le lire en VO doit être simplement truculent. Et même si j'ai un bon niveau d'anglais (à l'écrit surtout, j'ai beaucoup beaucoup perdu à l'oral), je ne serais pas capable de l'apprécier dans la langue de Shakespeare (ou de Pratchett).
En résumé, une plume caustique et imaginative mais un univers trop loin de ce que j'aime lire.
A la suite de la lecture de ce roman, que j' ai dévoré, j' avais presque peur de passer l' aspirateur... une crainte terrible de déranger l' un de ces paisibles Munrungues....
Découvert suite aux conseils d'une amie, je me suis régalée!!! Je n'ai par contre pas oser me lancer dans la lecture des annales du disque-monde (peur de ne pas tenir sur la longueur)
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